C’est un dimanche matin vers le milieux de l’été. Cela fait quelques jours que nous sommes en pleine canicule. Même sans aucun vêtements, ni couvertures, il fait trop chaud!

Il doit être 7h ou peut-être 7h30, on aperçoit déjà les rayons du soleil à travers le volet. J’aurais dû penser à mieux le fermer. Cette douce lumière me réveil, je me retourne, tu as l’air de dormir paisiblement encore. J’essaie de me rendormir. Ce coup-ci c’est le chant des oiseaux qui m’empêche de me rendormir.

Mon esprit vagabonde, je te regarde, tu es nue devant moi, tes seins qui se dressent fièrement. Je m’imagine déjà te faire émerger de ton sommeil en te les massants, tu commencerais à ouvrir les yeux. Je t’embrasserais fougueusement… je bande… c’est fou l’effet que tu me fais. Il faut que j’arrête de penser, sinon je vais finir par te réveiller!

Je me rends compte que la lumière qui filtre au travers du volet fini par faire des dessins sur ton corps. Un point lumineux à attiré mon attention tout particulièrement. Il se trouve pile sur ton sexe. Je peux même apercevoir ton petit grain de beauté. Tu es vraiment magnifique dans cette ambiance. Je bande encore plus fort à la vue de se sexe complètement imberbe. Il faut absolument que je me lève sous peine de te sauter dessus.

J’arrive à sortir discrètement de la chambre, mon membre se dresse encore fièrement devant moi, comme s’il voulait m’indiquer le chemin. Je m’arrête à la cuisine, bois rapidement un petit café. Passage éclair à la salle de bain pour me rafraîchir et m’habiller. Puis direction la boulangerie. Je me dis qu’un petit déjeuner au lit te fera plaisir.

De retour une demi heure plus tard, je me dirige vers la chambre. Ma belle est toujours endormie. Je m’assois sur le côté du lit et commence à délicatement caresser ton corps. Tu te réveille. M’adresse un petit bonjour. Et referme les yeux pour mieux profiter de ces caresses.

Je te fais retourner, j’ouvre le tiroir de la table de chevet et j’en sors une petite huile de massage. J’ouvre le flacon, déverse quelques goutes d’huile au chocolat sur ton dos et repose la fiole sans la refermer. Je sais déjà où je veux en venir. Cela fait quelques heures que les idées fusent dans ma tête. Je commence par étaler l’huile de manière uniforme sur ton dos, sans appuyer les gestes. Mes mains montent sur ta nuque, je palpe ta peau avec mes pouces. Je laisse glisser mes mains le long de ta colonne. Je malaxe ta chaire. Je peux constater la musculature de ton dos. Tous ces mois de sport n’ont pas servi à rien.

Je termine par masser la zone des lombaires, je fais effleurer mes mains sur tes fesses. Plus le massage avance, et plus je me dirige vers ces dernières. Tu as l’air de trouver ça agréable. J’en profite donc pour reprendre le flacon, et déverser précautionneusement le liquide sur ton petit cul. Celui-ci se resserre au contacte des goûtes fraîches qui perlent sur ta raie. Sous l’action de mes mains je les sens qui se détendent doucement. Je décris un cercle en rapprochant et en écartant tes fesses que je tiens fermement. Cela me permet d’avoir une vue imprenable sur ton petit bouton de rose. Mes pouces se mettent à frôler le sillon de ton derrière, et se font un peut plus insistant autour de ton petit trou. Je sens que tu commences à te détendre, à chaque fois que mon doigt passe dessus, il commence à s’insinuer dans ton intimité. Je m’arrête avec mes doigts pour continuer à masser tes fesses, et je me délecte à les écarter un maximum. Je ne peux que remarquer que tu commences à t’ouvrir.

Je stop le massage, ce n’est pas vers ça que je veux aller. Mes plans sont bien différents. Je te retourne brusquement sur le dos. Je te masse rapidement les seins, et sens que les tétons durcissent sous mes doigts. Je parcours tout ton corps du bout de mes doigts. Je les laisse effleurer ton entre jambe, je sens la chaleur et l’humidité qui s’en dégage. Je n’en peux plus.

Je te saute dessus et t’écarte les jambes. Je positionne mon sexe à l’entrée du tiens… je sens tes mains agripper mes fesses.tu m’attire vers toi. Je devine ce que tu veux. Mais j’ai envie de te l’entendre dire. Je te demande ce que tu veux…

« Viens »

Je pousse très légèrement, et millimètre après millimètre, mon sexe plonge en toi. Une fois au fond je sens ton vagin qui se resserre sur moi. Je m’arrête. L’excitation est à son comble. Je suis la, plonger au fond de tes entrailles. Une douce chaleur m’envahit. J’ai encore envie de t’entendre parler. Ce coup-ci je sais ce que je veux entendre…

Tu le redis « viens ». Je ne bouge toujours pas. Mon sexe est gonflé de plaisir. Je te demande encore une fois ce que tu veux. À ce moment précis tu te souviens… je le remarque à ton cœur qui s’emballe dans ta poitrine, tes mains qui se crispent sur mon dos, et ton sexe qui se resserre encore plus sur moi. Le doute n’est plus permis… tu romps le silence de la chambre.

« BAISE MOI »

Sur ces mots je deviens comme fou, je m’active, la température grimpe. Nos corps deviennent humide, les vas et viens se font puissants. À ce rythme je ne tiendrais plus longtemps. Je ralentis mes coups de reins. Tu souffles. Je commence à aimer de plus en plus la situation. Je te regarde dans les yeux… tu me dis

« Fais moi jouir »

Je redouble mon ardeur. Mes pénétrations se font longues et profondes. Je t’entends gémir de plaisir. Nos respirations se sacadent et s’accordent sur un rythme commun, celui de notre chevauchée endiablée.

« Oui! C’est bon… encore! »

Et dans un râle d’extase ultime nous atteignons l’orgasme. Je te rempli par saccade de mon liquide brûlant de désire. Je sens tes muscles se raidir sous mon corps. Nous restons la, sans bouger. Je fini par me retirer, et m’allonge à tes côtés. Tu viens te blotire contre moi.

« Si tu veux j’ai chercher le petit déjeuner, moi je meurs de faim! »
« Ouh, j’en ai de la chance »
Et tu m’embrasses. On fini par se lever, tu enfile rapidement un petit string en dentelle noir, et moi un boxer bien moulant de la même couleur. Nous profitons du petit déjeuner tranquillement assis au bar de la cuisine. Une tension sexuelle est encore palpable. Enfin, je me fais peut-être des films…

Le petit déjeuner engloutis tu te lèves et pars. Je fais la vaisselle en vitesse. J’ai quasiment terminer, quand tout à coup je t’entends.

« VIENS »

À ces mots mon sang ne fait qu’un tour, direction mon pénis, je me retrouve à bander comme un taureau dans mon caleçon. Je me dépêche d’aller dans la chambre ou tu t’étais réfugiée.

Là, tu m’attends, nue sur le lit, jambes écartés. Je n’arrive pas a décrocher mon regard de ton sexe encore gonfler de plaisir, et qui s’entre ouvre devant moi. Ce spectacle me fascine.
Je m’approche du lit, mais au lieux de te sauter dessus, je me jette sur la table de chevet. J’en sors des boules de geisha. J’ai une idée derrière la tête. Je te demande de te retourner, et de lever tes fesses, ton excitation t’incites à m’obéir. Je caresse cette croupe qui s’offre à moi, je fais glisser mes doigts sur ton intimité, je sens que tu mouilles, tu n’as l’aire d’attendre qu’une chose. Je pose mon gland sur l’entrée de ton vagin… il rentre sans même forcer. Je me retire. Quelques secondes plus tard, c’est une boule en caoutchouc rose que se présente à tes lèvres… je pousse à peine, et la boule est comme aspirée par ton sexe. Tu laisses échapper un petit soupir de plaisir. La deuxième ne tarde pas à la rejoindre. Un petit cri s’échappe de ta bouche, tu es toi même étonnée de la vitesse avec laquelle tu as accueilli ce jouet.

Je te donne une tape sur les fesses et te demande de t’habiller pour aller faire un tour. Je te prie de ne pas mettre de soutient-gorges sous un petit haut blanc plutôt moulant. Le temps que tu choisissent tes habits, j’enfile vite fait un t-shirt, et file préparer quelques fruits à emmener pour notre ballade.

Tu te présentes devant moi rayonnante. Je t’invite à m’attendre dans la voiture. Tu as l’air étonnée. Je t’annonce alors un petit picnic surprise.

Nous partons donc direction… les Vosges. J’ai repéré un petit coin pour marcher le long de l’eau, et finir au bord d’un petit étang. Ce sera notre destination.

Sur le trajet j’allume la climatisation, il fait vraiment chaud maintenant. Je remarque que l’air frais fait dresser tes seins sous ce petit haut. Je vais avoir du mal à détourner le regard pour me concentrer sur la route!

Ouf! On est bien arrivé! En sortant de la voiture une chaleur suffocante nous tombe dessus. Heureusement la promenade va se dérouler en bord d’eau et sous l’ombre des grands arbres. Nous commençons la ballade. Au bout d’un moment je te demande:

« Tu penses qu’elle est bonne? »
« De qui? »
« Bah de toi! »
« Comment ça?! »
« Je parlais de l’eau en fait »
« On va voir? »
« Ok »

On se rapproche du court d’eau que nous longeons depuis le départ. Je sais ce que j’ai envie de faire! Te mouiller ton haut blanc… je trempe une main dans l’eau.

« Brrr elle est fraîche! »
« Ah bon? »

Ni une ni deux, je prends le maximum d’eau dans les mains et te les verses dessus. Ton haut devient transparent, et tes seins pointent d’un coup vers moi.

« T’es pas possible! Heureusement il fait chaud! »

Nous continuons sur le petit chemin, et je ne cesse de jeter des coups d’œil sur ta poitrine. Je penses que tu le remarque mais cela semble te faire sourire.

Nous arrivons au bord du petit lac sans avoir rencontrer personne sur tout le chemin. Tant mieux on sera tranquille au moins. J’installe une grande couverture au sol, on s’assoit et je te propose de grignoter quelque chose.

« Pourquoi pas. Qu’est-ce qu’on a de bon? »
« Des framboises! »
« Hmm »
« J’ai une idée de jeux! Tu pose une framboise ou tu veux, et je viens la manger sur toi, et je t’en fais partager la moitié! »
« Ok! »

La première se retrouve entre tes lèvres, je viens la chercher, croque dedans et on s’embrasse. C’est bon avec des framboises! Je t’allonge au sol en t’embrassant. Le deuxième fruit se retrouve sur ta joue, le troisième dans ton cou, à chaque fois nous nous embrassons de plus en plus fougueusement.

Je passe mes mains sous ton haut, je tire un peu dessus pour te faire comprendre qu’il est de trop entre nos deux corps. Tu te cambre pour me permettre de le retirer.

Un quatrième fruit se retrouve cet fois entre tes seins. C’est un spectacle sublime, ta poitrine offerte au milieux de la nature, avec un petit point rouge poser dessus. Je m’empresse d’aller le récupérer et de le partager avec toi.

Le cinquième est déposé par mes soins, directement sur le bout de ton sein droit. Je me laisse aller à le lécher et le mordiller.

« Mince j’ai manger la framboise tout seul! »
« Gourmand va! »

Je met un nouveau fruit sur le sein gauche cette fois-ci. Je fais attention pour te le ramener directement à la bouche et te l’offrir en entier.

Encore une framboise de plus, on arrive au nombrils. J’agrippe ton short sous tes fesses. Je tire un peu dessus. À nouveau tu te cambre et je t’enlève le peu de vêtement qu’il te restait. Je récupère la framboise, et nous nous embrassons avec passion.

Un dernier fruit se retrouve au-dessus de ton clitoris.

Je ne veux pas faire le gourmand, mais la framboise ne sera que pour moi. Mais surtout pour ton plaisir. J’ouvre grand la bouche et gobe les deux fruits… la framboise… et ton fruit défendu.

Tu sembles surprise. Tu m’attrapes les cheveux et tire dessus. Je continu de sucer avidement ton petit abricot tout lisse. Ma langue te prodigue un petit massage intime. Tu respire de plus en plus fort. Je te serre les hanches avec mes mains. Et commence à faire des va et viens avec ton corps pour le faire buter sur ma langue. Je te sens de plus en plus excité. Je profite du goût exquis de ton intimité…
Tu me tiens les épaules fermement et tu commence à pousser des petits cris. Je sens que tu viens. Je me fais plus énergique. J’attrape ta poitrine, je fais claquer ton corps sur mon visage. Tu cris plus fort une dernière fois et te retire de cette étreinte, ton sexe devenant trop sensible.

Je m’allonge tranquillement à tes côtés. Je profite de la vue de ton corps nu dans la nature au bord de l’eau. Tu me dis:

« Wouh! Il fait chaud! Je vais aller me baigner un peu »

Je continu de te mater, ton petit cul tout nu qui plonge dans l’eau fraîche. Je me rend compte que je bande encore! Est-ce que j’ai au moins débander depuis ce matin? Je ne pourrais pas vraiment le dire.

Je me déshabille rapidement et tente de te rejoindre dans l’eau. J’y met un pied. Brrr, je n’y arriverais pas… trop froide pour moi. Je retourne m’assoir sur le drap. Tu reviens de ta baignade et te jette sur moi! Tu es gelée! Je sursaute. Mais au fond c’est très agréable! Je sens ta peau ferme, et tes seins dures sur moi.

Tu m’embrasses le cou. C’est frais! Tu descends sur mon torse totalement épilé. Tu t’arrêtes sur mes tétons. Tu en mords un. Je me cambre entre douleur et plaisir. Tu descends encore, et mon excitation monte. Tu t’arrêtes sur mon bas ventre, et t’acharnes à y laisser ta marque. Je gémis de plaisir.

Tu te redresse assise sur mes genoux. Tu passe tes cheveux sur un côté de ta nuque… tu es belle avec le soleil qui caresse ta peau…

Tu te baisse sur moi, et je vois mon sexe disparaître dans ta bouche. Un doux frisson parcours tout mon corps. Je passe ma main dans tes cheveux, et les tiens pour dégager ton visage, et surtout la vue. Il y a beaucoup de gourmandise dans ton jeux de langue. Les va et viens, les succions, ta langue qui me tourne autour. Et d’un coup je sens tes mains descendre sur ma bourse. Tu commences à jouer avec mes boules, et j’en perds le contrôle. Je sens la jouissance monter. Je respire fort, et quelques secondes plus tard je déverse ma semence dans ta bouche. Tu ne bronche pas et continue ton action. Je te redresse la tête et n’ai qu’une envie: t’embrasser à pleine bouche. Mais avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, c’est toi qui vient à moi. La bouche encore pleine et chaude, nous échangeons un baiser.

Le temps de reprendre mes esprits je remarque que ça se rafraîchit. Le ciel se couvre et devient menaçant.

« Il va falloir qu’on y aille, on risque de tomber dans une averse si ça continu. »

On remballe les affaires et nous voilà sur le chemin du retour. Une bonne journée qui se termine un peu trop vite…

Nous arrivons à une centaine de mètres de la voiture, et tout d’un coup le ciel se lache sur nous. Nous courrons jusqu’à la voiture. Je l’ouvre et on saute dedans, complètement trempé, mais heureux de ne pas rester plus longtemps dehors.

Je te vois greloter dans la voiture, je monte le chauffage. Nos vêtements mouillés nous collent à la peau. C’est une sensation très désagréable. Arrivé devant le garage de la maison, il faut retourner sous la pluie, dernière étape avant le répit.

À peine arrivé dans le couloir on se débarrasse vite fait de nos habits, pour se jeter sous une bonne douche chaude. Au bout de 5 minutes notre corps revient à une température à peu près normal. Nous sommes la, tous les deux, nu, l’eau chaude qui nous coule dessus… on ne tarde pas à s’enlacer…

J’entends au loin le tonnerre gronder.

« On ne devrait pas rester sous la douche si l’orage arrive »

On termine brièvement notre douche. On se sèche. Et la… gros coup de tonnerre. On sursaute. La foudre est tombée proche de chez nous…

J’ai envie de jouer à des jeux plus électriques…

Histoire proposée par FramboiseChoco sur Voissa

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