Lors d’un déplacement à l’étranger, à Amsterdam, je discutais avec mon « amie » Sophie. Discuter est un bien grand mot, en fait nous avions une discussion très chaude dont les effets de l’un sur l’autre pouvaient être facilement constatés par nos webcams : ma queue gonflée que je masturbais doucement, le string visiblement trempé de Sophie qu’elle caressait généreusement. Nous discutions, allez savoir pourquoi, de l’envie de Sophie d’expérimenter avec une autre femme. Elle me détaillait comment elle imaginait la prendre, ou se faire prendre par elle, de la façon la plus crue et imaginative possible – pour m’exciter par jeu, mais aussi pour s’exciter elle-même.

Le problème pour elle était qu’elle voulait certes essayer avec une femme, mais qu’elle ne voyait pas comment la trouver. En plaisantant, je lui dit qu’elle n’avait qu’à prendre un RTT et me rejoindre à Amsterdam. On trouverait bien quelqu’un sur place. Quelle ne fut pas ma surprise quand elle répondit que c’était une bonne idée, qu’elle allait voir au boulot si elle pouvait prendre le RTT le jour pour le lendemain puis me rejoindre !

La journée passa, inintéressante (car professionelle) pour moi au regard de mon excitation de voir Sophie arriver. Nous n’avions pas eu de rapport sexuel « réel » depuis plusieurs semaines et j’étais encore tout excité par notre séance de la veille. La réponse vint en fin d’après midi : elle avait eu son vendredi, et me rejoindrait dès la fin d’après midi en prenant le premier Thalys. Petit passage par l’hôtel pour ma part, douche, et retour à Amsterdam Centraal pour attendre ma demoiselle.

Rien que la voir approcher sur le quai, je commençais déjà à bander. Elle portait une jupe légère avec, j’en étais sûr, rien en dessous. Elle me sourit, m’atteint et m’embrassa. Puis me sussura à l’oreille qu’elle n’en pouvait plus. Elle avait du aller se soulager deux fois de son excitation lors du trajet et rien n’y fit. Nous partîmes donc vaquer dans Amsterdam. Pour attérir dans une petite rue typique dotée, de part et d’autres, de cabines contenant bien entendues des prostituées. En regardant les femmes le visage de Sophie commença a s’illuminer. Je savais ce qu’elle allait dire avant qu’elle n’ouvre la bouche.

– « Voilà la solution ! Pas besoin de s’exténuer à draguer une fille, on a qu’à la payer ! »
– « Euh, oui, ok, mais ça te choque pas un peu ? Moi j’ai jamais payé pour une fille, un peu par principe » répondis-je.
– « Moi non plus, mais ça me permettrait de remplir mon fantasme ! Allez, on essaie ? Celle la est tellement jolie regarde ! » dit-elle en désignant une jolie brune très « commerçante » (elle nous aguichait à travers la vitre).

Après quelques mots échangés avec la-dite fille de joie, qui s’appelait Natacha, cette dernière fut d’accord de nous faire entrer tous les deux dans sa cabine. Mais seulement Sophie pourrait la toucher car elle faisait normalement pas « les couples. » Nous entrâme donc et je m’assis sur une chaise pendant que Sophie se posa sur le lit, face à Natacha. Sophie était un peu moins sûre d’elle qu’à son habitude. Natacha lui passa la main dans les cheveux tendrement, puis l’embrassa. Ce petit élan initial déchainait Sophie. Je la vie attirer Natacha, toujours debout, vers elle en aggripant ses fesses. Une main disparu bien vite des fesses de Natacha pour arriver entre ses cuisses. Après quelques instants, Natacha recula, la main de Sophie dans la sienne, pour la faire se lever, puis se tourner et se cambrer en avant sur le lit. Et entrepris de la lécher. Sophie ne pouvait pas la voir, en revanche en regardant en arrière elle croisa mon regard, qu’elle soutint d’un air très lubrique. Je posais ma main sur ma queue pour lui faire comprendre à quel point j’étais excité.

Puis Sophie demanda, dans un anglais approximatif mais équivoque, à voir Natacha la lécher. Elle se mit donc sur le dos et pu ainsi jouir du spectacle. Elle posait sa main sur la tête de sa partenaire pour qu’elle se colle plus près, s’enfonce plus profond. Pour ma part j’avais maintenant baissé mon pantalon et me branlais allègrement. Quelques minutes encore, et le moment que j’attendais arriva. Sophie m’avait parlé de LA position qu’elle voulait essayer, et elle étant en train de l’entamer.

Elle échangea sa place avec Natacha. Cette dernière était sur le dos, sur le lit, jambes écartées. Sophie était face à elle, penchée en avant et commençait – pour la première fois de sa vie – à lécher le sexe d’une autre femme. Le cul tendu vers moi, pour que je la prenne en lévrette. Ce que je fit. C’était une première pour moi aussi. Jamais je n’avais été dans un « threesome », même si je n’avais le droit de toucher qu’une seule des deux femmes. Baiser la femme qui est en train de lécher la chatte d’une autre, grand fantasme devant l’éternel ! Et pareil pour Sophie.

Nous continuâmes jusqu’à ce que je jouisse. Puis je laissa ces dames terminer – Sophie demanda à ce qu’on l’a lèche encore jusqu’à ce que les 30 minutes soient écoulées. En sortant de la cabine, Sophie était toute émue. Je lui demandais si c’était comme ça qu’elle l’imaginait. Elle aurait préféré que ce soit plus « naturel », que le rapport soit le fruit d’une séduction et pas d’un échange d’argent. Je n’ai pas eu le coeur de lui dire que c’est elle qui avait voulu recourir à une pro, mais que si elle avait aimé rien ne l’empêchait – ou nous empêchait – de recommencer.

Toujours est-il que nous étions du coup très excités tous les deux. Nous décidions d’un restaurant, puis de retourner à l’hôtel pour continuer notre nuit de débauche…

Mots clés : ,