Je m’éveillais doucement de ma sieste. Les rayons du brûlant soleil de juillet tentaient de s’insinuer entre les volets soigneusement clos. Dehors la chaleur devait être étouffante, Pourtant la chambre était fraiche ; c’est l’avantage de ces vieilles maisons de pierre au murs épais. Je perçus quelques bruits assourdis dans ma maison, pourtant j’étais censé y être seul, Agathe étant partie chez sa mère. Oui, cela me revenait maintenant, comme prévu, Adeline était venue faire le ménage et elle avait les clefs. Connaissant mon goût pour la sieste, elle devait sans doute mettre en œuvre des trésors d’ingéniosité pour faire le ménage sans bruit afin de ne pas me réveiller et je lui en savais gré.

J’enfilais un tee shirt et un caleçon de coton. C’était la tenue que je portais habituellement pendant les chaudes journées d’été, suffisamment légère pour être à l’aise, suffisamment décente pour ne pas gêner Adeline. Après tout elle n’était pas obligée de devoir supporter la vue d’une homme de 60 ans en petite tenue même si, au dire de certaines, j’avais quelques restes acceptables.

J’eus beau entrer dans la cuisine les pieds nus, apparemment sans faire de bruit, Adeline décela ma présence. Elle s’activait avec une rare énergie compte tenue de la chaleur à nettoyer les baies vitrées.
Je te fais un café ? demanda elle sans se retourner. Oui je veux bien, merci répondis-je. En prendras tu un avec moi ? Çà te ferait faire une petite pause, il fait si chaud. Oui, c’est une idée dit elle.

Adeline prépara les deux cafés et nous les servit sur la terrasse. Elle ruisselait de sueur, Pourtant elle avait prévu la tenue adéquate : jupe très courte en coton, petit top à fines bretelles qu’elle portait sans soutien gorge, Adeline était une assez belle femme d’une quarantaine d’année, pas un top modèle mais une grande fille simple et sportive, avec de belles formes.

Tout en buvant mon café je regardais les grosses goutes de sueurs qui ruisselaient de son cou et venaient rouler sur la naissance de ses seins. Je réprimais une petite bouffée de désir. Non Adeline est notre femme de ménage et elle a vingt ans de moins que moi. Oublis me dis-je alors cherchant quelque chose a dire pour imposer une diversion à mon esprit qui commençait à s’enflammer

Pourquoi de vas tu pas te tremper dans la piscine ? proposais-je alors. Merci, c’est gentil. J’aimerais bien mais je n’ai pris pris de maillot répondit elle d’un air visiblement désolé. T’as pas besoin de maillot dis-je alors avec une audace qui m’étonna moi même, tout en redoutant un refus outré de sa part.

Oui, tu as raison dit-elle en riant, je n’ai pas besoin de maillot et aussitôt elle se leva, se débarrassa de ses ballerines, fit glisser sa jupe sur ses chevilles et passer son top par dessus sa tête. Puis sans aucune gêne elle ôta son string et courut se jeter dans la piscine.

Je la vis faire quelques longueurs de bassin à toute allure, Adeline nageait vite et bien, puis, émergeant dans le petit bain, de l’eau jusqu’à la taille, offrant à ma vue de beaux seins lourds, le mamelon raidi par la fraicheur de l’eau elle dit : Tu viens ?

J’eus bref instant d’hésitation. Je n’ai pas de maillot sur moi dis-je. Tu n’en as pas besoin toi non plus dit elle en riant. J’ôtais alors mon tee shirt et mon caleçon, libérant mon sexe qui commençait sérieusement à témoigner de mon émoi. Je descendis alors les quelque marches qui menaient au petit bain et lorsque j’entrais dans l’eau mon sexe était dur et tendu.

Pendant tous ce temps, Adeline n’avait pas quitté mon sexe des yeux. Elle s’était appuyée contre le flanc de la piscine, les bras écartés reposant sur les margelles. Ses tétons étaient maintenant complément érigés, saillant au milieu de larges aréoles rose vif, pendant au bout de ses seins rond et lourds qui s’affaissaient un peu. Le genre de poitrine que j’adorais et dont a vue ne faisait qu’aviver mon excitation.

Arrivé à deux mètres d’elle je ne savais plus que faire. Approche dit elle avec une pointe d’autorité. J’obtempérais. Quand je fus à porté de sa main, si je puis dire, je la sentis empoigner ma verge à pleine main, évaluant sa dureté. Puis m’attirant à elle elle dit : Viens, j’ai envie que tu me la mettes.

Crois tu que ce soit raisonnable demandais je, hésitant encore. Ce n’est absolument pas raisonnable mais je m’en fout répondit elle, j’ai envie que tu me baises et toi tu as envie aussi.

Alors je cessais de résister. Elle guida mon sexe entre ses cuisses et agrippant ses bras autour de mon cou et nouant ses jambes autour de mes hanches elle dit. Vas y, met la moi a fond. Alors pris par une total frénésie, je la pénétrais d’un seul coup et je me mis a imprimer à mon sexe de vigoureuses allées et venues qu’elle ponctuait de cris de satisfaction. Oui ! Comme çà ! Vas y fort ! J’aime çà ! criait elle. A ce rythme là, la jouissance me gagnait très vite et je la suppliais de ralentir le rythme. Adeline, je n’en peux plus, je vais jouir ! Implorais je. Moi aussi, répondit elle, continue, je veux que tu me remplisses avec ton jus ! Maintenant ! Et elle jouit aussitôt alors que dans le même temps j’inondais son vagin de puissant jets de sperme qui semblaient ne pas vouloir se tarir.