La lumière tamisée de l’après-midi déposait un voile doré sur les vitres des bureaux parisiens de l’entreprise. Sandra, juriste senior de 34 ans, levait parfois les yeux de son écran pour admirer cette vue. Depuis son espace de travail, elle voyait les toits de Paris s’étendre à perte de vue. Un tableau qui, malgré son habituelle monotonie, parvenait toujours à la détendre.
Mais aujourd’hui, rien n’y faisait. Une légère torpeur s’était installée dans son esprit. Le matin avait été dense, avec des réunions et des contrats à réviser, mais là, en ce début d’après-midi, un vide curieux s’était glissé entre ses pensées. Une notification vibrante sur son téléphone attira son attention. C’était un message de Julien, son mari.
« Bonjour mon amour. Je viens d’atterrir à Roissy, vivement ce soir, la chaleur de ton corps me manque.
Sandra esquissa un sourire. Ils étaient mariés depuis six ans, un couple dont la liberté et la complicité étaient reconnus de tous. Entre eux, le désir était une flamme toujours entretenue, nourrie par des gestes audacieux et une sexualité bouillonnante. Julien savait toujours comment éveiller le désir chez sa femme, et Sandra, loin d’être passive, rentrait souvent dans son jeu.
Elle répondit rapidement : « Toi aussi, tu me manques. Tu n’imagines pas ce que je té réserve pour ce soir… » Alors qu’elle tentait de retourner à son contrat en cours, une douce chaleur s’installait dans sa poitrine. Le message de Julien a fait fait l’effet escompté…
Le bureau de Sandra était un espace moderne, aux lignes épurées. Des parois vitrées la séparaient de ses collègues, créant une impression d’intimité sans être totalement isolée. La moquette douce à ses pieds et les fauteuils confortables rendaient l’ambiance agréable, mais parfois trop sage. Les cliquetis réguliers des claviers et les conversations discrètes emplissaient l’air d’un bruit de fond familier.
Elle aimait son travail et était reconnue comme étant une collaboratrice sérieuse dont le savoir-faire comme le savoir-être faisaient l’unanimité. Mais peu se doutaient que la studieuse collègue était en réalité une femme à la sexualité débridée.
Alors qu’elle reprenait son contrat, une idée fugace s’immisça dans son esprit. Et si elle lui envoyait une photo, quelque chose de plus audacieux ? Juste une façon de le faire languir encore plus. L’envoi de photos coquines à son mari était courant mais l’idée d’un geste spontané dans l’enceinte du bureau était une première pour elle.
Elle se leva doucement, ajustant sa jupe crayon noire et prenant son téléphone et son sac à main « Une pause s’impose », murmura-t-elle en elle-même. Le chemin jusqu’à la salle de repos de son étage prit une saveur toute particulière. Chaque pas amplifiait son excitation. Elle était consciente de la possibilité d’être vue, d’attirer un regard curieux. C’était un jeu qu’elle appréciait : être audacieuse, mais jamais imprudente.
Sandra entra dans la pièce, refermant la porte derrière elle. Elle s’assura que personne ne la suivait. L’ambiance était calme, le doux ronronnement de la climatisation accompagnait le silence. Elle posa son sac sur une table, sortit son téléphone et se regarda dans le reflet de l’écran.
Son visage était légèrement teinté de rouge, une lueur dans ses yeux dévoilait son excitation. Elle prit une profonde inspiration. Elle aimait l’idée de composer une image qui capturerait à la fois son élégance et son désir. Ajustant son chemisier blanc, elle déboutonna deux boutons pour laisser entrevoir un subtil décolleté. Elle joua avec la lumière naturelle qui filtrait par les vitres, prenant soin de choisir un angle qui soulignerait la douceur de ses traits.
La première photo fut un test. Elle examina le résultat, puis sourit. Elle pouvait faire mieux. Cette fois, elle inclina légèrement la tête, un sourire complice aux lèvres, capturant toute la chaleur de son désir. Lorsqu’elle envoya finalement l’image à Julien, son cœur battait un peu plus vite. L’excitation de son geste et le risque calculé d’être surprise étaient grisants.
À peine la photo envoyée, son téléphone vibra. Julien répondit immédiatement : « Tu es magnifique. Et terriblement audacieuse. » Elle sentit une vague de satisfaction l’envahir. Ce simple échange était une échappatoire, un souffle de liberté dans une journée ordinaire.
Elle s’assit sur le fauteuil près de la baie vitrée, fermant les yeux un instant. L’excitation de l’échange et la beauté du moment présent se mêlaient en une harmonie douce. Elle sentit une chaleur naître en elle, une sensualité à la fois douce et intense. Ce moment lui appartenait entièrement.
Elle de décida donc à passer à la vitesse supérieure et récupéra son sac qui contenait un petit colis qu’elle avait récupérer le matin même. Celui-ci contenait une surprise prévue pour son homme le soir même. Mais tanpis, il le découvrirait plus tôt que prévu. Elle sorti donc le plug anal qu’elle avait acheté quelques jours auparavant sur plugezvous.fr, un petit tube de lubrifiant puis retira son tanga, qu’elle mit dans son sac. Elle s’installa sur un siège dans un petit recoin de la pièce qui lui permettrait d’avoir un temps d’avance au cas où quelqu’un rentrerait dans la pièce, car elle savait qu’une visite pouvait arriver à tout moment.
Elle s’assit donc sur celui-ci écarta les jambes et inséra progressivement le plug dans son anus. Chaque mouvement de va-et-bien faisait monter sa température corporelle et elle ne pu retenir quelques légers gémissements. Une fois celui-ci en place elle pris son appareil photo, remonta sa jupe, se cambra sur la chaise et envoya une photo du plug inséré dans son anus à son homme.
Une fois la photo prise, elle décida de ne pas retirer le plug et de ne pas remettre son tanga. Elle retrouverait son mari d’ici deux bonnes heures, le sextoy resterait en elle jusque-là.
Lorsqu’elle sortit de la salle de repos, Sandra croisa un collègue qui y rentrait au même moment. Elle se rendit compte qu’à quelques secondes près, elle aurait pu se faire surprendre. Ce qui l’excita terriblement.
Ce petit interlude, à la fois discret et exaltant, avait transformé sa journée. En rejoignant son bureau, elle se replongea dans son travail mais moins de 2 minutes plus tard, nouveau SMS de Julien : « Tu me rends fou, ce soir je vais te baiser comme jamais ».
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