Je m’appelle Amélie et je vais vous raconter une histoire qui a commencé il y a bientôt 3 ans alors que je débutais ma troisième année d’étude dans le supérieur.
J’ai 21 ans et je m’apprête à rentrer en troisième année de Licence dans le secteur de la communication. Après avoir été en couple pendant presque 2 ans avec Antonin nous avons rompu pendant l’été. Même si ce choix vient de moi, cette rupture m’attriste beaucoup même si je suis loin d’être abattue et voit plutôt les 10 de retrouvé plutôt que l’homme que j’ai perdu. Il faut dire que sur ces derniers mois cette relation devenait clairement ennuyeuse et j’avais la sensation de passer à côté de beaucoup de chose et de ne pas profiter à fond de ma jeunesse.
Comme beaucoup de monde je me suis donc inscrite sur Tinder afin de faire de nouvelles. Bien que j’ai déjà de nombreuses sollicitations dans mon entourage j’ai envie d’autre chose, de surprise, d’imprévu. Et on ne va pas se le cacher, j’ai envie de profiter et ne pas me remettre en couple de sitôt.
Durant les 6 premiers mois je dois donc avoir une bonne quinzaine de dates dont la moitié finissent sous la couette. Cela en plus de quelques autres hommes rencontrés en soirée et même d’une femme (ce qui pourrait faire l’objet d’une autre histoire dédiée). Ces quelques expériences me font un bien fou et me donnent l’impression de redécouvrir ma sexualité.
Mon année universitaire se passe bien, ma vie sexuelle pas trop mal, je rencontre juste quelques quelques difficultés à boucler certaines fins de mois. Mes parents n’ayant pas de grands moyens, je travaille comme serveuse pour un traiteur certains week-end, ce qui me permet tout juste de tenir en limitant le budget loisirs.
Nous arrivons en mars lorsque je commence à parler sur Tinder avec Antoine qui a quelques années de plus que moi. Sans être moche, Antoine ne correspond pas vraiment à mon idéal masculin. Mais durant nos premiers échanges il arrive à me captiver. Il a une certaine assurance qui le rend extrêmement séduisant. La température va rapidement monter durant nos échanges et un certain jeu va s’installer entre-nous. Contrairement aux autres rencontres que j’ai pu faire sur Tinder, Antoine n’est pas pressé de me rencontrer. Ce qui ne me dérange pas car j’aime beaucoup le jeu de séduction qu’il me propose.
Un vendredi soir Antoine me confie qu’il est fasciné par les odeurs et qu’il aimerait beaucoup pouvoir sentir mes sous-vêtements. Il me propose alors de lui envoyer une culotte sale qu’il prendrait entièrement à charge les frais d’envoi et me demande mon compte Paypal (même si nous habitons à Moins de 30 kms l’un de l’autre). Plutôt hésitante au début j’accepte finalement, curieuse de sa réaction une fois qu’il décevrait celle-ci.
Quelques jours après, je reçois un virement de 30 euros (de quoi couvrir 5 fois les frais d’envoi) Antoine me dit qu’il est ravi de ce cadeau et m’avoue s’être masturbé en sentant le culotte en dentelle noire (photo à l’appui). Je propose alors à Antoine de nous rencontrer mais celui-ci refuse et me demande une autre faveur : lui envoyer une autre culotte que j’aurais porté en faisant du sport afin qu’elle soit bien odorante. Même si je préférerais le rencontrer pour qu’il me la retire lui-même, je décide de lui laisser une dernière chance et j’accepte sa requête.
Quelques jours plus tard, nouveau virement et nouveau message de remerciement d’Antoine qui semble aux anges. Suite à cela le comportement d’Antoine semble changer, j’ai vraiment l’impression qu’il n’y a plus que mes sous-vêtements qui l’intéressent. Progressivement je mets donc un terme à nos échanges.
Nous arrivons à la fin du printemps, l’année universitaire se termine dans quelques semaines quand lors d’une soirée, une amie me confie avoir parlé à un mec sur Instagram absolument fasciné par les sous-vêtements qui lui a proposé jusqu’à 50€ pour lui envoyer un string. Après vérification, il ne s’agit pas d’Antoine même si son histoire me fait penser à lui.
Un peu coincée et en couple, mon amie s’est offusquée et n’a pas donné suite mais de me côté cela m’a donné une idée qui pourrait bien m’aider à financer mes études et pouvoir me payer mon semestre à l’étranger…
Après quelques vérifications sur Instagram je me rends compte que la vente de petites culottes sales était un vrai business et que des centaines d’hommes en recherchent. Curieuse je décide donc de créer un compte et propose ce service. Si le début est timide, quelques photos de sous-vêtement portés suffisent à faire exploser les demandes diverses et variées. Culotte portée pendant une semaine entière, dans laquelle je me serais masturbé, avec des taches de cyprine voire même d’excrément ou d’urine, c’est la folie.
Je fais donc le tri dans ces demandes et commence à réaliser mes premières livraisons. Au bout de seulement 3 mois ce business m’a déjà rapporté plus de 2 000€. En un an j’arrive à dépasser les 10 000€. Une vraie bouffée d’oxygène afin de terminer mes études sans aucun soucis financier.
3 ans plus tard, je viens de valider mon Master et je fais actuellement tour du monde de 6 mois avec une amie (qui est quelques fois ma maitresse aussi :D) qui s’est également lancée dans la vente de petites culottes sales. Une activité qui nous permet de profiter à fond. Et je vous avoue qu’une fois rentrée en France le mois prochain je me pose la question de trouver un métier en rapport avec mes études…
Mots clés : fétichisme, sous-vêtements