Belle se repose sur la terrasse heureuse d’être réchauffée par le soleil. Âgée de trente six ans maintenant elle contemplais son corps le même qu’elle avait à peine vingt six ans, sculptural les seins gonflés fermes sa taille fine son ventre plat et ses longues jambes fuselées qu’elle contemplait en les levant l ‘une après l’autre bandant les muscles des cuisses qui roulaient sous sa peau fine. Les séances hebdomadaires d’aquagym et de fitness y étaient sûrement pour quelques chose. Elle formait un joli couple qui faisait retourne les têtes quand elle se promenait au bras de son mari, amoureux l’un de l’autre comme au premier de leur union. Mais bien qu’il la comble tous les soir la faisant crier son amour dans de longs cris d’agonie passant d’andromaque en levrette, d’antilope en pénétration anale. Mais ce n’était plus le sexe sauvage de leur début quand il profitait d’un de ses passage à portée de main pour l’attraper par la taille lui arrachant ou lui déchirant sa culotte et la prenant brutalement voire avec bestialité sans préparation. Quelquefois il la penchait couchait sur la table du salon ou de la cuisine une main sur la nuque pour la plaquer et il la sodomisait sans hésitation s’enfonçant en elle d’une seule poussée elle hurlait d’abord de douleur puis par provocation le rendant fou de désir. Régulièrement une fois qu’il était assouvi et qu ‘il relâchait son étreinte elle montait dans la salle de bain enduire son anneau rectal de pommade hémostatique et malgré la brûlure qu’elle ressentait elle ne pouvait s’empêcher de se masturber l’anus s’introduisant un doigt heureusement bien moins gros que la verge de son homme.
Elle n’avait jamais voulu prendre un amant même pour une heure ou deux alors régulièrement elle allait écumer les cinq ou six bars pour lesbiennes qu’elle connaissait. Là elle draguait ou se laissait draguer par des femmes de son age plus âgées ou plus jeunes laissant le feeling agir. Et rarement elle était déçue par ses choix.
Un après-midi alors qu’elle cherchait une jolie proie assise sur un haut tabouret elle se mit à réfléchir et s’aperçut qu’inconsciemment ses proies favorites étaient de jeune femmes blondes à l’aspect androgyne. Comme la fille de ses voisins quand elle habitait encore en région parisienne, celle-ci avait à peine seize ans quand elle la prit en main pour l’associer à ses fantasmes. Elle se souvenait avec tendresse de ses grands yeux curieux quand elle lui faisait expérimenter de nouvelle choses : le rasage de son sexe sa première sodomie avec un god les exhib en public sa première fellation à son mari un soir qu’elle l’avait gardé à la maison. A chaque fois qu’elle repensait à cela une boule de chaleur remplissait son bas-ventre.
Mais en ce moment elle se sentait légèrement fatiguée et lasse de faire le nettoyage de la maison. Tous en conviennent : c’est une tâche ingrate. Heureusement, tout est parfaitement net, ou presque!
– C’est parti ! Il ne reste plus que la table de verre de la cuisine. Enfin, je pourrai m’accorder un temps de repos!
L’envie de prendre un bain chaud la titille. Belle élimine la dernière poussière en pensant à son mari, elle a hâte qu’il revienne du boulot. Il arrivera bientôt, mais pas suffisamment rapidement à son goût.
L’envie de sortir son gode caché près de la lessiveuse lui prend. C’est tellement bon ; mais elle préfère un membre bien réel. En plus, quand elle et Pierre baisent, c’est divin! Ici ou à l’extérieur de la maison alors que des promeneurs peuvent les surprendre. Ce bon sexe dangereux la fait toujours exploser dans un orgasme monstrueux.
Belle regarde l’horloge et s’aperçoit qu’il lui faut encore attendre une longue heure avant l’arrivée de son mari. Elle entreprend de lustrer la table et les miroirs, entraînant ainsi ses mains habiles pour lustrer le membre de son homme. Tout cela devrait relâcher un peu de tension! Souriante, elle nettoie la dernière tache de la maisonnée.
Direction la chambre de bain et, nue, elle se pencha pour tourner les robinets de la baignoire. Plus rien ne supporte ses seins ; Belle les caresse et prend plaisir à se regarder dans la glace. Une demi-heure passée dans l’eau chaude l’a reposée. Elle ressent toujours l’envie profonde d’être possédée par Pierre ou encore de le chevaucher sauvagement.
Les cheveux couleur brique toscane sont maintenant secs. Elle se demande comment s’habiller pour l’arrivée de son mec. Devant le miroir, le contact soyeux de la robe d’été noire suscite en elle d’alléchants souvenirs. Le décolleté aguicheur révélait ses rondeurs clémentes. Elle sourit et change de tenue pour un jean moulant et un t-shirt. Grommelant, elle se dit que les pantalons prendront trop de temps à être retirés lorsqu’il la déshabillera tout à l’heure. Ce côté pratique resurgissait à l’occasion pour cette femme au foyer forcé : son employeur a fait faillite.
– J’ai trouvé!
Elle sort les quatre pièces de tissu et les revêt immédiatement. Tournant sur elle-même, elle s’admire dans le miroir. Elle était vraiment canon. Ses longs cheveux reluisent par delà ses épaules. Son visage abrite de grands yeux verts aguicheurs, une bouche aux lèvres roses et pulpeuses églantines faites pour les pipes comme lui répétait son mec.
Ses mains musardent sur sa taille mince puis vers ses hanches plus larges et agiles bien habituées aux rythmes de la danse. Belle se place de côté pour s’émerveiller elle-même de sa taille en forme de sablier et de sa poitrine. Son 95 C rende bien des filles jalouses. En plus, les seins tiennent bien droit et haut d’après ce qu’elle avait pu comparer à la piscine et à la gym. Les onomatopées des hommes qui la croisaient la confortaient son standing de bimbo.
Belle a tout pour faire tourner le regard des hommes. Ses jambes fuselées et son corps équilibré pour une hauteur d’un mètre soixante-quatorze. Elle ne passait jamais inaperçu. Tout cela la rendait si irrésistible!
Elle a déjà raconté à ses copines jalouses qu’un petit vieux ne s’était pas empêché de lui pincer les fesses! Pour les ados, la jeune femme est digne des top-modèles. Deux d’entre eux veulent, gratuitement et pour tout l’été prochain, faire la pelouse et l’entretien du jardin. Ils espéraient la voir se faire bronzer près de la piscine. Idéalement nue, comme dans leurs rêves! Elle allait sûrement accepter, il lui restait encore du temps pour imaginer des scénarios qui devraient les rendre fous.
Dans le miroir, son image reflète un corps à mourir d’envie et voilé d’une jupe rouge si légère. Le haut consiste en un fin chemisier blanc et bien ajustée au corps. Les boutons semblent prêts à éclater pour laisser paraître un soutien-gorge simple d’un blanc tout aussi éblouissant. Cette exquise poitrine n’est qu’un des charmes de Belle. Qu’ils sautent les boutons, après tout, elle veut être nue pour le corps à corps avec son mari !
Le son de la voiture stoppant dans l’allée lui signale que l’heure de gloire se présente enfin. Son mari coupe le contact et sort de la voiture tout content : aujourd’hui, c’est le match de son équipe préférée. Il a conduit si vite pour arriver à temps, qu’il lui reste une moins d’une demi-heure avant le match. Les analyses, les paris et les bières vont être bien utiles aujourd’hui. Le siège arrière soutenait une caisse de pour lui et son ami Jacques.
– Tu es vraiment excité ! lui dit son ami Jacques qui l’accompagnait.
– Tu rigoles, c’est la partie du siècle : une finale pareil au foot. Il n’y a que le Mondial qui peut battre cela.
À un mètre quatre-vingt-cinq, Jacques le dépasse de quelques centimètres, mais il est nettement moins fort.
Alors qu’ils passent la porte, Belle saute au cou de Pierre, folle d’amour. Leurs lèvres fusionnent fougueusement. Les jambes autour des hanches de son homme, elle s’attend déjà à ressentir contre son ventre un gros morceau dur. La queue de Pierre n’a pas raidit à son contact. Pas tout à fait, c’est l’effet Foot qui règne en Pierre, pas l’effet cul!
– Oh… salut Jacques, dit-elle d’un air perplexe.
– Salut Belle, je n’ai pas le droit à un baiser? Un sourire en coin illumine son visage.
– Toi, c’est pour plus tard », lui dit-elle en blaguant. Elle ne le sait pas encore, mais cela va vraiment se produire.
– Jacques vient regarder le PSG. On a vraiment faim, pourrais-tu nous préparer de quoi manger, s’il te plaît. Pour boire, on a tout le liquide nécessaire!
– Oui chéri… et elle se dirige vers la cuisine en chahutant ses hanches. Elle n’est pas de bonne humeur. Elle est si belle lorsqu’elle se fâche.
« Ouah! Elle est vraiment belle!» pensa Jacques.
Elle est si torride avec sa courte jupe moulante et son chemisier noué en haut de son nombril. Elle a l’air d’une jeune collégienne. Son ventre apparaît et sa couleur miel lui impose une question : comment est le bikini, de quoi a l’air ce petit minois ? Plein de questions sans réponses dans la tête, ou le pantalon, de Philippe.
Pierre pensa pendant un quart de seconde à annuler simplement le match. Pour passer aux choses sérieuses, immédiatement quoi! Match de foot oblige ; son ami est là et ils vont profiter de ce match! Tous deux n’ont pas manqué le spectacle de ses cuisses et de son cul. Ce soir, il se ferait pardonné par Belle.
– Tu peux être certain qu’après le match, je ne m’endormirai pas!
– Pfff je te comprends, je peux partir, tu ferais pareil pour moi.
– Mais non, c’est le match! Merde! Ce sera son tour après les 90 minutes.
Le salon est grand, un sofa fait face à l’écran plat de la télévision et le portique reliant la pièce au reste de la maison se ferme avec des portes givrées antiques. Habituellement, Pierre y joue à la PlayStation, bien tranquille. Les gars sont bien installés et ont mis plus deux cent dollars dans le bol des gageures jouxtant celui des chips.
– Pierre, tu veux bien diminuer le volume, cria Belle. Zut j’aurais dû m’en souvenir de ce championnat. Pierre ferme les portes entre le salon et la cuisine et couloir principal.
– Désolé, mon cœur.
« Bon c’est mieux » pensa-t-elle, mais il va falloir attendre pour le sexe!
La première demie débute et le festin commence. Sur le sofa, des hommes engloutissent de la bière et de la malbouffe. Revenant après des canapés Belle se penche pour déposer le plateau. Face à elle, son chéri a les yeux rivés sur l’écran et manque le spectacle des seins de sa femme. Ceci frustre Belle et elle retourne dans la cuisine en claquant la porte.
Jacques, lui, n’a rien manqué. À travers le chemisier, il voit de biais la chaude teinte des seins. Rebondis et semblant bien fermes, il souhaite en voir plus, mais craint d’être surpris par l’enchanteresse.
Jacques, grand charmeur, pense immédiatement à fourrer sa queue dans le clivage de ses seins. Mieux encore, il va faire un de ces paris de film porno. Si les siens gagnent le match : je baise ta splendide copine directement devant toi! Et tu prends des photos de nous! Humiliation totale…
Belle revient et se cale dans le divan à côté de son copain. Pierre n’y porte guère plus d’attention. Les minutes passent. S’ennuyant, elle prend une revue du côté de Jacques, la levrette au-dessus de Pierre ne résulte qu’en quelques soupirs d’exaspération de Pierre parce qu’elle lui bloque la vue du match.
L’ami, lui, n’a rien manqué du spectacle. Belle s’est approchée de Jacques telle une lionne. Elle, étirant son bras pour prendre le magazine ; lui, étire son regard. La fosse entre les seins est saillante et invitante, le rebondi des joyeux seins l’est aussi. Le tissu nacré du soutien-gorge se fait remarquer et crie sous le poids du galbe. Comme est elle est merveilleuse! Remontant le regard vers son visage, il croise celui de Belle. Un sourire sexy lui est décoché. Et elle se retire, frôlant langoureusement Pierre, l’émeraude de ses yeux dans ceux de Jacques qui a le front en sueur.
Elle tourne les pages, le dos bien cambré, mettant ainsi en valeur sa poitrine. Pierre finira bien par la remarquer. Les rayures du chemisier amplifient le cintrage de Belle. Le bas de son ventre nu montre un petit anneau de pierres précieuses autour du nombril. À chaque inspiration, la lisière de son buste se hausse de façon hypnotique pour Jacques.
Une décharge l’a traversée quand elle a fixé le meilleur ami de son copain. Heureusement, les bonnets n’ont pas laissé transparaître la pointe de ses mamelons excités.
– Chéri, je vais préparer le dîner.
– Okay…
Un clin d’œil vers Jacques, paralysé. Il viendrait la mater, elle en était certaine. Ils viennent tous! Elle repense à cela. Inviter le meilleur ami de son chéri! Quelle audace! Une fois dans la cuisine, elle sort le hachoir électrique et le met en marche, vide.
– Merde! On ne peut pas écouter la partie en paix! dit Pierre irrité. Il augmente le volume de la télé.
– Je vais le dire à Belle, répond aussi tôt Jacques. Il saisit l’occasion pour aller à la cuisine.
– Vas y ! Ohhhh! Carton Jaune! C’est fantastique!
– C’est ta femme que je vais toucher mon cher Pierre! pensa Jacques en se dirigeant vers Belle. Ce sera magnifique de la coucher sur la table !
-Salut Jacques.
Les portes closes derrière lui, Jacques s’approche de Belle sachant fort bien qu’il réussira à marquer. Elle a en main un bâtonnet glacé. Le regard séduisant et la langue titillant la glace, Belle s’approche de son nouvel amant. Sa langue rose et pointue fait le tour langoureusement en léchant le sommet de la friandise. Il dépose ses mains sur ses hanches et patiente le temps qu’elle finisse sa glace. Avides, ses yeux noirs plongent dans la chemisier de Belle, pleine de désirs et de péchés.
Avoir son mari dans la pièce à côté et la perspective de vamper son copain excite au plus haut point Belle. Elle poussa la glace par delà ses lèvres pulpeuses, étirant le cou vers le haut. Belle glisse l’esquimau au fond de sa gorge. Jacques ne sut pas qui du froid de la glace ou de la sensation tactile profonde provoqua un frémissement généralisé du corps de Belle. Tout aussi délicatement, son index et son pouce retirent la longue friandise : coulissant hors de sa bouche, un mince filet de salive resta accroché à sa fine langue.
Moqueuse, Belle tend le bâton avec un morceau, mais fondu, à son admirateur. Jacques n’en fait qu’une bouchée. Fini, les esquimaux ! Il l’accule au comptoir pour l’embrasser en la prenant par la taille, plutôt fine. Ses lèvres contre les siennes, sa langue vient aussitôt contre la sienne, jouant au tourniquet. Belle croise ses jambes derrière ce beau corps et elle commence à se frotter au sexe masculin. Elle avait de le tester et voir jusqu’où il irait. Tant pis pour ses bonnes résolutions elle se sentait trop chaude.
– Hmmm… tu sembles bien équipé !
– Tu seras surprise. Dans le bon sens, répondit Jacques.
Elle sent sa queue croître. L’activation fait son effet en elle aussi. Jacques semble parfois la mordre et descend goûter ses seins. La transpiration exulte des deux corps et quand il est certain qu’elle est bien en place sur le comptoir, ses mains libres partent vers le buste de Belle. Pressé, il ne détache même pas les boutons et tripota les seins à travers le tissu sans délicatesse.
Elle éteint le robot culinaire et continue de se pelotonner contre le sexe de Jacques. Il est bien grand et Belle veut en avoir le cœur net. Il a entre temps réussi à déboutonner le haut féminin. Wow! Les seins bronzés semblent plus séduisants encore avec le soutien-gorge blanc neige. Alors qu’il allait le défaire à l’arrière, elle le repousse.
– Hein quoi? Belle, tu es difficile à comprendre.
Le son de la fermeture éclair et de la ceinture masculine rassura Jacques. Elle s’agenouille, adossée au comptoir, le visage face au caleçon déformé. Belle saisit le pénis et a vraiment hâte de se faire baiser par cette grosse trique. Le temps presse.
Ses mains agiles parcourent le membre viril alors qu’elle fixe Jacques. Il sourit : il va bientôt se tailler un chemin dans les chaires étroites de la femme de son meilleur ami. En plus, il est, à son insu, à cinq mètres de lui, en train de palper la plus belle femme de la ville. De sa position de guet, Jacques admire les quelques grains de beautés qui habitent la poitrine de sa ravissante suceuse.
– C’est bon! Tu peux accélérer, je ne suis pas précoce. Il tente de la rassurer car la situation pourrait très bien s’envenimer, sexuellement parlant.
– Tu le portes très bien.
– Le meilleur que tu n’auras jamais! Dit-il, très confiant.
Déjà satisfaite de sa grosseur, il grossit entre les doigts et il dépasse maintenant la taille du pénis de Pierre. Wow! S’il fallait qu’il nous surprenne! Cela l’excite encore plus. Sa bouche s’approcha lentement du bout de son membre et d’un rapide coup de langue elle humidifie ses lèvres pleines de convoitise.
Goulûment, elle l’avale d’un coup! Ah non! Elle le suçote.
– C’est dedans, c’est un goal! Je suis en train de gagner, crie Pierre!
Belle lèche le long des vingt centimètres et plus, laissant une traînée suave. Ses doigts peinent à faire le tour de l’axe.
Bien raide, il sent la langue de Belle tournoyer sous ses couilles et il quitte momentanément le doux visage de sa complice. Les yeux clos, il comprend la remontée de Belle le long de sa flèche. L’angoisse monte en lui pour l’apothéose de se sentir finalement s’enfouir dans sa bouche.
-C’est tellement excitant Belle, chuchote-t-il.
-Jacques, tu as un si bon goût, tu es si fort.
-Vas-y suce-moi!
Le minois de Belle serpente jusqu’à son gland qu’elle prend entre ses lèvres. Jacques distingue à travers les lèvres de Belle la langue gracile qui s’agite en tout sens. Après être remontée, Belle, courbe la tête pour ramener à l’horizontale le pénis de Jacques. Face à elle s’étend l’artère mâle large comme deux règles d’écolier.
– Oh, mais quand va-t-elle me sucer? Je suis à poils, il ne me reste que les chaussettes et ma chemise. Aller.
– T’es prêt Jacques? lui susurre-t-elle avec ses grands yeux vert et sa bouche prête à avaler.
– Oh oui, dit-il en avançant son bassin contre Belle, prisonnière entre cet homme et le comptoir.
– Alors va ouvrir les portes du salon !
– Quoi ? Tu es folle! répondit-il trop fort.
– C’est ça ou rien. Je veux que Pierre soit aussi près que possible. Ça m’excite encore plus.
La queue raide entre les jambes, Jacques s’approche tranquillement des portes givrées et les ouvre comme si de rien n’était. En lui, un désir obscur le pousse vers Belle pour des raisons évidentes. Mais ça c’est si machiavélique, pauvre Pierre!
– Mon chéri, Jacques va m’aider à préparer le dîner, dit-elle tout simplement à son mari.
– Oui mon amour! Sans se retourner, il ajouta : Jacques, tu rates une superbe partie!
– Je me sacrifie pour cette demie pour une partie de jambes en l’air avec ta copine termine-t-il à demi-mot.
Belle a fini de lécher la verge de Jacques et s’apprête à l’enfourner le long de sa langue jusqu’au creux de sa gorge. Les deux mains sur le large membre, ses lèvres progressent, sa mâchoire s’étire. Elle sait qu’elle n’a jamais eu de pénis aussi imposant à sucer. Belle a hâte qu’il vienne prendre possession de sa chatte. Belle se connaît : elle tire des pipes comme pas une, et Jacques va le découvrir!
Juste à côté, la télévision crachait les meilleurs jeux de l’histoire. Les reprises télé captivent Pierre, le mari de Belle. Combien de fans rêvaient d’y être en personne. C’était un devoir de le regarder. Quant à Jacques, il a le devoir de prendre soin de Belle!
À mi-chemin, elle prend une pause. Regardant la base du grave morceau, elle pense au dernier décimètre à engloutir. « Mon Dieu qu’il est gros! » Donc, elle recule sa tête un petit peu, le léchant copieusement. Tous deux perdent la notion du temps qui presse : la première demie de la partie achèverait bientôt.
L’écume s’accumule sur sa verge et Jacques sent Belle remonter la pente pour l’avaler au complet. Elle baise le gland épais et se reprend à plusieurs reprises pour l’aspirer. Jusqu’au bout cette fois, elle en est capable. La vingtaine de centimètres est au chaud, totalement cloîtrée au plus profond de sa bouche et de sa gorge.
Les yeux clos. L’intensité de l’immobilité dura un court instant. Sa tête remue de haut en bas. Jacques est émerveillé de voir cette femme pouvoir le sucer entièrement, c’est une première. Il sent sa langue frétiller, coincée entre son gros membre et la mâchoire de la copine de son meilleur ami. Le souffle chaud de Belle exulte de ses narines sur sa peau sensible.
Belle est perdue dans ses pensées fantasques. Elle rêve déjà au moment où Jacques va la posséder pour vrai. En attendant, elle fonctionne sur le pilote automatique, répétant les mêmes gestes féminins millénaires. Gestes qui plaisent énormément à l’ami de son mari.
Elle se guide en posant les mains sur les hanches nues de Jacques. Son nez bute contre ses forts abdominaux et la cuisine s’emplit des bruits de succion. Jacques meurt d’envie de pénétrer violemment sa fine gueule. Il a vraiment envie de lui saisir la tête et de lui baiser la gorge. Il souhaite foutre sa queue profondément dans sa bouche et d’y jouir pleinement. Mais s’en aurait été finie de la petite chatte dont Pierre se tare si souvent. Belle lui aurait vivement refusé tout autre orifice, tout autre délice.
La télévision noie les sons provenant de la cuisine alors que Belle festoie férocement sur la trique de Jacques. Elle est si habile que son énergie ne fait pas mal du tout, elle a une bouche en velours. Jacques prend possession de sa tête et il gémit plus intensément. Il agrippe ses cheveux et tire rapidement sa tête le long de sa hampe d’amour.
– Oh oui! C’est ça, suce mon gros membre ! Suce-moi pendant que ton copain regarde le match dans la pièce à côté.
Elle est sublime avec tes cheveux en bataille et ses joues creuses. Les râles moites émanent de la bouche pleine de Belle. Elle sait y faire et sait qu’il ne pourra résister très longtemps.
– Avoue que t’aimes ma bonne grosse queue!
Sa seule réponse est de lever les yeux et de continuer à astique la queue. Elle sourit, mais cela ne parait pas tellement elle a la bouche pleine. Empoignant ses cheveux et il percute sa queue plus profondément dans sa gorge veloutée. Aucune femme ne l’a jamais avalé si ardemment. Un brin de panique prend Belle alors que Jacques s’active plus agressivement avec sa tête. Ses narines dilatées inspirent et expirent un souffle chaud, rempli d’effluves sensuels. Heureusement, ses mots doux la mettent en confiance et elle ne rechigne pas cette première expérience si unique.
Ses yeux restent fixés aux siens avec cette attitude que l’on connaît des vraies suceuses alors que sa tête continue son voyage de haut en bas. C’était si érotique d’avoir la femme de son meilleur ami à genoux et empalée sur son sexe, baveuse comme une princesse déchue. Pierre, juste à côté, rendait le tout si illicite qu’un simple coup d’œil et s’en aurait été fini. Le mari aurait vu sa femme à genoux, les vêtements froissés, la tête en bataille, les lèvres dilatées autour de l’immense queue de Jacques.
– Il a si bon goût si t’es un gentil garçon, je te sucerais une autre fois.
-Tu me supplieras de revenir te baiser dans le lit de ton mari.
– Oh ! salaud
-À partir d’aujourd’hui, cela fonctionne à ma manière.
Il savait qu’elle reviendrait pour plus, après tout il était l’ami de Pierre et repasserait sa femme.
-Tu jouis sur moi ou j’avale?
Jacques faillit juter en l’entendant parler si crûment. Après tout, ils étaient pressés. Elle sentait bien qu’il arriverait bientôt au bout de l’insupportable. Belle reprit prestement sa hampe entre ses lèvres. Couvrant le gland en premier, tout le pénis disparut au chaud d’un coup. Un remous sur le sofa du salon l’alerta, mais il était trop tard. Belle, continuait son périple sans y porter attention, le jeu était si avancé. Heureusement, ce n’était que Pierre qui changeait de position.
– Putain que tu suces bien! Ton homme est tellement chanceux. Si j’étais lui, je ne pourrais partir travailler sans une de tes pipes.
-Mmmm, fit-elle en pensant à Pierre. C’est le cas presque chaque matin. Je lui taille une petite pipe avant le boulot.
– Tu iras l’embrasser après ça!
Elle le maintient par les hanches, mais prend quand même un petit moment pour éloigner quelques cheveux collés à ses joues. Jacques y va d’une butée plus forte, s’enfouissant dans sa gorge serrée. Malgré l’habitude, Jacques s’enfonce très profondément et Belle eu un spasme qui fit flipper son amant.
Maintenant ! Et son gland surexcité éjacule par giclées dans sa fine bouche, remplissant rapidement son estomac. Belle garde son regard souriant sur son visage froissé par la jouissance.
Pierre est assis à 4 mètres, inconscient que sa jeune femme aspire à genoux la semence de son meilleur ami. La jolie rousse gargouille les gorgées crémeuses, impressionnée par la quantité produite par Jacques. Quand il a commencé à jouir, Belle a essayé de ne rien perdre de ce présent. Quelques gouttes pendent à ses lèvres et à son menton. Quelle soirée incroyable à goûter l’intimité de son meilleur ami! Jacques a taché la douce de son ami. La peau de ses seins et le bord de son soutien-gorge sont maintenant collants. Belle ne lui en tient pas rigueur.
Elle est si étonnée de voir que Jacques est toujours raide après l’éjaculation. C’est un bon présage.
-Je le suis toujours après une bonne pipe! Je ne l’avais jamais été autant avant, ça doit être toi qui me fais ça.
La soulevant, il voit qu’elle regarde toujours son membre, souriante d’appréhensions et un peu stupéfaite. Belle a maintenant le cul adossé au comptoir et le string tout mouillé.
– Qu’est-ce que tu vas faire ? Feignant l’innocence.
Il répond en retroussant sa jupe fripée. Il déchire sa culotte et la jette vivement sur la céramique. Jacques a maintenant Belle assise devant lui, la chatte humide et prête à accueillir sa queue gigantesque.
-Je vais te baiser directement sur ce comptoir. Juste où Pierre et toi avez nettoyé vos assiettes. Juste où, s’il se retournait, il me verrait de faire crier de plaisir.
-Je vais gémir autant que je le veux et surtout tu ne m’entendras jamais te supplier de rien.
-Tu vas me supplier de revenir te baiser et me crier de ne jamais arrêter!.
-Je ne le fais même pas pour Pierre!
Jacques frotte son gland contre les lèvres chaudes de Belle, l’électrisant.
– Peut-être… Tu vas quand même te laisser sauter par moi. Quand je le voudrai et n’importe où et comme je le voudrai!.
– Pas tu tout! toujours aussi sûre d’elle. Pas du toooouuuuuut !
Sans plus de mots, il s’enfonce promptement sur toute sa longueur. Elle doit mordre sa lèvre quand l’énorme verge déplace ses chaires! Un fort gémissement s’enfuit d’elle. Sa douleur d’être remplie et étirée si rapidement aurait été perceptible dans tout le quartier n’eut été de son mari siégeant dans la pièce d’à côté. Se retenir est d’autant plus excitant.
La télé allumée, Pierre bénéficie d’un spectacle sportif incroyable. Son ami, Jacques, profite bien plus de la soirée avec sa lance enfouie dans son vagin. Il la dépose sur le comptoir pour poursuivre ses coups. Ce sera une baise épique! Pour Belle, toute garnie, la baise s’annonce des plus chaudes. C’est épique!
-Oh! Aucun gars… ouf! Aucun mec…
– Je t’écoute…
– Ouuuf ! personne m’a jamais fait sentir aussi étroite!
– J’aurais du parier.
– Mon Dieu que tu prends de la place!
Jacques sourit d’un large et heureux visage. C’est vrai qu’elle est étroite malgré son expérience. Il maintient tout simplement son pénis en elle, sans bouger ni rien. Belle frissonne d’avoir son gland si épais profondément en elle. Elle s’accoutume à cette extraordinaire force de la nature.
– T’aimes la sensation de ma queue Belle? Sa vulve s’agrippait à son sexe.
– Hmmmm, j’ai connu meilleur!
Un sourcil s’élève et Jacques retire sa verge titanesque. Elle est déçue. Puis, il recommence à baiser Belle vite, très vite ! Sortant et allant rapidement dans la chatte chaude qu’il envahit, elle sera bientôt toute garnie, à l’excès ; des excès si enivrants.
– Noonnnnn! Se plaint-elle quand le piston de Jacques entre et sort de sa fournaise. Elle jette sa tête vers l’arrière et cadenasse ses cuisses autour des hanches de son amant.
Elle serre le comptoir et ses jointures deviennent blanches. La couleur rouge s’est emparée de son corps en entier. La sueur recouvre ses moindres recoins et rondeurs. Le plaisir qu’elle ressent de cet amour défendu et celui d’être mise en pièces par l’arme sacrée de Jacques lui font perdre la tête.
– Tu en veux à nouveau ?
Elle ne peut que laisser échapper des gémissements !
– Je ne t’ai pas compris? Tu veux que je te nique ? Souriant et sûr de lui Jacques continuait de la pilonner.
– OUI! BAISE-MOI!
– Que je t’en donne plus ? C’est ça Belle ? L’étincelle dans ses yeux disait tout
– OUI, saute-moi Jacques ! Saute-moi dans ma maison! dans ma cuisine!
Ses râles sont intermittents et ne sont invraisemblablement pas perçus par les oreilles de Pierre situé à quelques enjambées d’eux. Le mari est rivé à l’écran. Tant d’argent est en jeu : près de mille balles pour une finale, raisonnable quoi ? Non! Irraisonnable, tout comme la baise illicite de sa femme Belle. Même s’il perd, il sait toujours l’avoir à ses côtés et pour longtemps sous son toit. Cette prunelle de ses yeux : Belle ; elle n’a aucun prix. Son seul défaut est qu’elle n’aime pas le football. Son deuxième défaut : son appétit démesuré pour le sexe.
– Jacques! Il faut que tu viennes voir ça. PSG est en train de laver ton équipe.
– Pierre, j’ai les mains pleines. Je viendrai bientôt. T’inquiète surtout pas, je suis en train de montrer une recette à ta copine.
– Une recette! Tu me montreras ça un jour parce que je ne te crois pas du tout !
La tête de Belle est renversée, son esprit aussi, son sexe encore plus. Cette jolie tête touche à la fenêtre derrière l’évier. Les voisins arrière peuvent se rincer l’œil ! Son dos arqué est si cambré que la grosse trique de Jacques pénètre et scrute avec aisance et force son intérieur. Les étincelles émanent de son repère divin.
Belle se sent boulonnée et se maintient au mobilier de la cuisine dans un dernier recours face aux assauts matraqués de l’ami. Ses larges seins cahotent dans tous les sens dans le précieux rempart de soie sensé d’ordinaire les supporter. Jacques n’a que faire d’habits et ne souhaite qu’une chose : que ses tétons s’extirpent d’eux-mêmes du soutien-gorge constricteur. Il aura le plaisir vicieux de les avoir libérés par ses butées dans le chaud vagin de sa nouvelle copine.
– Quel est le marquage ?
– Tu veux vraiment le savoir ! Ton équipe est tellement mauvaise!
– Dis-le moi ou je reste ici.
– 2-0 après le penalty! Dans les dents!
C’est si bon. Elle n’a jamais senti autant de désir en si peu de temps. Sa chatte est encombrée et combien distendue et surtout enivrée par Jacques. Belle est baisée, vraiment baisée! Elle est pénétrée si fort qu’elle ne peut que se tenir sur les mains. Jacques lui empoigne les fesses et l’empale sur son pénis de la cime à la racine.
Et tout ça, sans que Pierre entende que dal. Les risques sont énormes. Elle s’en fout à présent. Ses jambes vibrent derrière Jacques, indication de ses orgasmes futurs. Le volume de la TV est la seule raison qui l’empêche d’être prise sur le fait. Ce brutal acte d’amour est combien jouissif. Oui, être surprise par le meilleur copain noir est vraiment excitant. Pierre développerait sûrement un complexe d’infériorité en voyant l’érection de Jacques poindre entre ses cuisses fécondes et le corps en liesse de sa femme.
– T’es tellement bonne! dit-il. Meilleure que dans mes rêves!
– Conti… elle ne pouvait terminer ses phrases.
– T’es si étroite, on dirait ta première fois.
Il a raison et il la pistonne plus fort, ses biceps supportent Belle qu’il enfile encore et encore avec son aiguille raide, non son sexe d’acier trempé, à juste titre.
– Belle grogne alors qu’il malaxe ses ovaires.
– Oh ouais! Jacques respire bruyamment.
Son corps en sueur luise dans la clarté crue de la cuisine. Il gardera longtemps à l’esprit l’incroyable soirée qu’ils vivent en ce moment. Belle vient vers lui à chacune de ses charges en elle. Avec son dos arc-bouté, si sensuel, Belle va à la rencontre de Philippe pour s’embrocher le plus fort et profondément possible. Cet homme sait exactement comment l’allumer. La soirée réservait des surprises aux quelles personnes n’auraient imaginées. Pierre encore moins.
– Oh oui! oui! oui!
Jacques est hypnotisé et exalté par les remous de la prodigieuse poitrine de son visage d’à peine quelques centimètres. Ralentissant son rythme. Les seins de Belle ondulent prétentieusement.
«Il s’arrête de me baiser,» pense Belle.
– Non non! NON! Continue! Tu ne peux pas venir tout de suite! NON!
Il prend la base de son t-shirt et la libère pour son propre bonheur de la pièce de vêtement. Quand elle comprend ce qu’il veut faire, elle soupira d’aisance, la séance de ramonage va recommencer. Jacques lance au sol le chandail et Belle dégrafe son soutien-gorge qui tombe, lui-aussi.
– Tu peux les regarder seulement si tu recommences!
Prenant son temps, Jacques sort son sexe presque totalement hors de Belle qui sent immédiatement son vagin rétrécir à sa taille normale. L’air frais refroidis ses lèvres intimes et elle prend peur. Pourquoi s’enfuit-il ?
– Encore des menaces… je sais très bien que c’est moi que tu veux. Arrête de cacher tes beaux seins.
– D’accord Jacques, tu peux regarder. Baise-moi vite.
Il smashe d’un coup sa bitte au plus profond de Belle! Elle crie de stupéfaction quand il fourre sa queue en elle, frayant son chemin et bourrant les chaires rouge vif d’une Belle extatique. Cela en est trop pour les oreilles de Pierre qui se retourne inquiet.
– Chérie qu’est-ce que tu as?
– Tout va bien Pierre. Belle pensait s’être coupée. Plus de peur que de mal.
– Ça va bien mon amour, manier les grands couteaux me fait toujours un peu peur.
– Fais attention à tes petits doigts. Viens vite me rejoindre.
– Elle est pleinement occupée et je l’aide pour que ça aille plus vite. On s’en vient bientôt.
Elle encercle ses seins d’un bras, comme ultime protection. Inutilement, car ils sont tous les deux nus. C’est aussi parce qu’elle triturait ses mamelons quand Jacques poussait à sa longue et épaisse queue en elle.
– Oh ouais… Belle pince ses tétons durcis par le plaisir
Sa bague de mariage reluit de tout son éclat et est enduite d’une couche de sueur et de semence de tout à l’heure. Jacques a remarqué entre les seins ce rappel en or et en diamants qu’il baise la femme de son meilleur ami et cela l’excite au plus haut point. Presque autant que les seins de perle aux auréoles vives que Belle garde encore contre ses paumes.
Il fixe l’alliance et les seins opulents de sa maîtresse, conscient qu’il pénètre de long en large la moule la plus étroite qu’il connaisse. Un acte perpétré juste à côté de son propriétaire. Ce jonc reluisant au milieu de la poitrine agitée de Belle lui donne des forces pour la sauter davantage.
– Oh bébé t’es tellement serrée!
C’est à ce moment qu’elle relâche son emprise sur ses seins et Jacques peut finalement admirer le 95 C de sa nouvelle conquête. Son sexe étroit l’accepte avec peine, mais ses seins prodigieux sont plus libres que jamais. Que de sensations sa trique provoque en elle! Ses cheveux roux ondulent vers l’arrière et vibrent à chaque assaut de Jacques. Les seins rebondissent sous ses chocs et il s’en régale. C’est la baise la plus inoubliable des deux amants. Exception faite de celle dans le bureau du patron de son mari!
Il aperçoit un éclair de plusieurs secondes dans ses yeux, nappés par l’immense luxure des ébats. La jouissance vient constamment en un fleuve riche et déferlant. Jacques en est fier. Belle redoutait, presque, le moment du vrai orgasme qui approchait. Le régal d’avoir la queue de Jacques coulisser en elle, de sentir son gland frotter contre ses parois intimes lui donne une euphorie encore jamais ressentie. C’est un gage d’explosion sexuelle dans la cuisine.
Voyant la belle rousse entre ses bras et prisonnière de son sexe, Jacques la baise avec toutes ses forces. Ses collines chique choquent dangereusement et il sourit d’ébahissement. Belle halète, la conscience nul sait où, mais son corps électrifié par les ardeurs de Jacques. Les seins de Belle sautent maintenant partout, claquant l’un contre l’autre, comme les deux amants.
– Ohh!
-Tu te régales ?
– OOH Ouuuiiiiiiiiii telllllment BON!
– Tu veux que j’arrête?
– Non supplia-t-elle.
– Dis-moi ce que tu veux!
– Hmmm hmm hm hm
– Dis-le-moi!
– Baise-moi! BAISE-MOI Jacques!
Jacques regarde la jolie rousse, sa poitrine fulgurante et bondissante, la pièce autour de lui avec leurs vêtements jonchant en partie le sol. Le paysage surréaliste d’avoir son meilleur ami juste à côté et dans ses bras sa salope de copine. Tout est parfait !
– Oui Uuu prend-moi!
Jacques l’écoute et ne cesse pas de la pénétrer. À sa place, qui aurait stoppé?! Sous son nez la poitrine de Belle se balade de droite à gauche sous ses efforts.
– Ah oui! Qui est le meilleur!
– OHHHH c’est toi!
– Dis-le!
– Ohhhhh ummmm Jacques est le… Meilleur! T’es le meilleur… umpf… umpf… umpf qui ne m’a jamais prise
Tout fier…
– Combien meilleur?
– Aaahaaahaaahaaa! T’es meilleur Oh Oui! Plus que Pierre mmmm tellement mieux que Pierre!
Elle est si proche de le dire. Son grand sourire n’attend que la confirmation vocale de ce que sa trique ressent enfouie dans l’étroite moiteur de Belle.
– Oh mon dieu! T’es vraiment meilleur que Pierre. T’es tellement plus gros que lui! Je vais exploser! Tu peux me baiser quand tu veux !
Ses poussées vont si creux en elle ; elle ne ressent plus cette douleur initiale : c’est une apothéose. Ses seins surexcités se frottent aux pectoraux de Jacques. Ses doux seins se pressent contre lui. Elle est déchaînée. Elle a la sensation de ses tétons frottant contre son corps musclé et cela la rend folle!
– N’arrête jamais de me baiser — JAMAIS!
Belle lui appartient. Elle se saute elle-même sur son membre considérable. Belle se pousse contre lui avec ses bras étirés sur le comptoir, la sueur ruisselle sur toute sa peau chaude. Comme possédés, Jacques et Belle se font l’amour jusqu’au moment où, tressaillant, Belle se cambre, jetant sa tête derrière.Bingo!
Belle est prise de secousses, tenant prisonnière le gland épais de Jacques en son fort, ressentant le plus gros champignon de sa vie, électrifiée par le plus gros orgasme l’ayant balayée. Tétanisée. Jacques continue de la pistonner. Plusieurs muscles bougent en elle. Il se fraye un chemin, non une voie rapide, dans ses chaires. Belle a le souffle coupé, la respiration sur stop, la jouissance dans le tapis!
Il se vide pour la deuxième fois en elle. Son lait s’épand contre ses chaires, tapissant le sexe rouge ! Sa tête à lui aussi est dans les nuages. Son corps frissonne moins que le sien, mais l’extase de sauter la femme de son meilleur ami, tellement hot et sensuelle le fait flipper.
– Ouf c’est le paradis!
Un grand vide se fait sentir entre ses cuisses ruisselantes. Sa trique de forte taille émet un petit «POP!» en sortant de sa bouche. Grande, luisante et gluante, la proue de Jacques pointe, valeureuse comme Durandale
Tout d’un coup, il soulève Belle, assoiffée. Sur le carrelage froid, ses pieds ont atterri et lui renvoient de somptueux frissons. Il était si bon! Elle prendrait un autre service de cette giga portion laiteuse. Jacques caresse son visage, l’envie de la baiser à nouveau resurgit. Non, elle ne l’avait jamais quitté! Les yeux écarquillés, elle se réjouit déjà à l’idée de subir les charges de Jacques. Elle se laisse glissée sans force le long du meuble et s’accroupit haletante jambes écartées et sexe ouvert. Elle sent bientôt le sperme la quitter et s’écouler sur le carrelage, Peu à peu la tache s’agrandit elle est grande comme une soucoupe maintenant. Prise dans sa folie orgiaque elle se met à quatre pattes le cul rejeté en arrière et lèche le carrelage récupérant avec sa langue le divin foutre. Tétanisé il la regardait faire puis fut plus attiré par son cul qui s’offrait.
– J’en veux plus! disait Jacques.
Belle aussi!
– Par derrière ?
– Non tu n’entreras pas !
Il venait de baiser la plus chaude qu’il n’ai jamais connu. Qu’est-ce qui lui passe par la tête ? Son meilleur ami est juste à côté! Sa femme nue ruisselante devant lui ! Entre ses bras! Grâce à Dieu, le match de la Ligue a scotché Pierre à l’écran.
Belle, reste à sa merci et elle savoure chaque instant de son aventure extra conjugale. Dans la cuisine adjacente au salon, la jeune femme rousse et le grand gaillard ont baisé. C’est un fait ; ils ne peuvent revenir en arrière. Le voudraient-ils? Les yeux écarquillés, elle se repaît des événements à venir alors qu’elle astique la queue.
Jacques la prend dans ses bras pour la relever et la positionne promptement contre la table vitrée de la cuisine. Il la tourne de côté et elle appuie ses coudes sur la table trop froide à son goût. Elle sait que par-derrière elle se sentira plus pleine que jamais. Si elle pensait que Jacques l’avait bien ramonée plus tôt, elle se trompait agréablement. Plaçant lui-même sa tête chercheuse l’orée de sa chatte, il fait vite entrer son gros calibre.
La femme de Pierre recule son cul contre le missile de Jacques mais à mi-chemin, il pose ses mains sur ses fesses et bloque son mouvement. La regardant dans la glace murale, il lui dit, voilant à peine ses mots :
– Supplie-moi
– Non, prends-moi!
– Supplie-moi! Il tourne son pénis en elle, la titillant, mais sans la pistonner plus profondément.
– Oooo! Baise-moi… Je n’en peux plus d’attendre! Jacques! Prends-moi avec ta queue d’enfer! Défonce ma chatte dans la maison de Pierre!
Elle ne cesse de l’encourager avec les paroles les plus vulgaires et nettement peu discrètes.
– GOAL! cria Pierre! Tu es en train de perdre Jacques !
– Euh… Ce n’est pas grave, je le dois à Belle.
Ses tétons sont rejoints par le fin toucher de Jacques. Les effleurant et les caressant, ils se voient mutuellement dans le miroir juste en face. D’un pincement de doigts, il cogne sa trique dans le fond de Belle, rétablissant les injustices et foudroyant la coquine.
Pierre aurait dû entendre le cri de Belle. La radio, la télévision et l’importance du match le sidéraient. Il y a tant en jeu : honneur, argent et l’Histoire! Chaque instant peut marqué un tournant dans l’histoire de l’une ou l’autre des équipes de foot.
Sa matrice est accidentée par le baton de Jacques qui continue sans arrêt de pistonner sa nouvelle princesse rousse. Les vingt quelques centimètres de son épée noire luisent hors d’elle. Vingt-cinq centimètres qui retraitent, ou plutôt, attaque aussitôt en elle.
Belle rue son cul contre la verge de Jacques avec ses bras étirés sur la paroi de verre. Elle se pousse rapidement contre le ventre musclé de son Black. Il s’étire pour saisir les deux larges mamelles qui grouillent sous Belle, cette sulfureuse maîtresse rousse. Jacques les serre fort et continue son galop dans la jeune rouquine en liesse en prenant bien soin des ses fermes melons.
Elle est si mouillée ; ses bourses à lui en sont recouvertes. Jacques reprend ses hanches et la pistonne au centuple. Il aurait vraiment voulu filmer toute cette scène. Il remarque dans le miroir les paupières closes, par le plaisir, de celle fabuleuse femme. Belle ne peut plus supporter les assauts enivrants.
Sa satisfaction masculine est à son comble. La femme qu’il emboutit est elle aussi au seuil de l’explosion d’adrénaline et de dopamine. Leurs racines ancestrales s’assouvissent. Ses larges seins ont repris leur course folle, frottant au passage sur le verre froid ou l’air tiède selon qu’elle s’arc-boute vers lui pour l’embrasser ou s’étire de tout son long sur la table comme une tigresse.
– Moui moui moui MOUI!
Jacques comprend son langage. Il la passe au pilori : les sons des claquements émanent de leurs corps torrides. Il veut la faire crier plus fort encore. Il veut que Pierre se lève pour voir son meilleur ami transformer sa femme en peluche rousse tordue par l’extase. Belle est soumise à son merveilleux et décadent traitement.
Les craquements de la table s’ajoutent au barouf de leur respiration haletante et de la succion de son vagin sur son pénis. La table couine comme Belle et elle smashe son cul contre Jacques ; toujours de plus en plus vite. Elle le supplie de ne pas arrêter. De revenir la prendre quand il le voudrait!
-Hey! Qu’est-ce qui se passe derrière?
-Oui chéri?
-Qu’est-ce que vous foutez?
-Jacques me prend des cornichons…
-Venez, la partie est excellente!
-Bientôt…
-Jacques, tu vas me devoir 100 euros!
Finalement, le plaisir est trop fort pour Belle et elle s’effondre sur la table. Jacques poursuit ses attaques dans le fin et onctueux passage de Belle. Elle est une vraie championne et il sait qu’il viendra lui aussi très bientôt : en elle.
Belle, la femme de son meilleur ami, est penchée au-dessus de la table en verre de la cuisine, totalement nue. Jacques contemple son dos nacré de perles de sueurs et des multiples rougeurs dues à ses assauts sexuels. Sa chaude peau monte et descend selon sa respiration arythmique. Il a autour de son sexe une jeune rouquine si étroite de la chatte et si ouverte d’esprit!
En plus, elle a une poitrine très cintrée, comme il les aime. Il la maintient comprimée sur le verre surchauffé d’une main appuyée sur le creux de son dos. La saillie ronde de ses seins aplatis l’excite énormément : un critère essentiel chez tout femme, selon lui! Son buste dépasse de part et d’autre de son corps de déesse, aplatit par Jacques le bienfaiteur.
Belle a le visage contorsionné par l’extase. Jacques se réjouit des grommellements et des soupirs qu’elle produit. Il la pompe fortement, cognant durement contre des fesses. Elle gémit son nom ; seule la télé empêche Pierre et le reste de la maison de les entendre. Comment peut-il penser qu’elle cuisine encore? Que Jacques l’aide! Oui, il fait de sa chatte des œufs brouillés avec son batteur incroyable! Mais en plus, elle a pu le sucer longuement et profondément dans sa gorge, aspirer une partie de sa sauve vitale. Et maintenant, Jacques va lui procurer un orgasme monstre avec sa queue de grandeur divine.
– Uh — uh — uh — uh — Jacques! Prends-moi!
Continuant de l’assaillir, Jacques s’avance et reprend possession des seins de Belle. À pleine main, il masse la ferme poitrine de sa concubine. Son fantasme ne semble jamais prendre fin : sauter sa femme de son meilleur ami!
– Je vais te sauter quand je veux, où je veux et de la façon que je veux OK ?
– Oui Jacques! Oui, prend-moi! N’importe quand Hmf hmf n’importe comment!
Agrippant la table à pleine main blanchie par la libido, Belle sent venir la déferlante. Le tumulte de halètements et couinements, les yeux fermés fort elle jouit finalement! Jacques, dans son trou, a donné un dernier coup. Le visage tordu de bonheur, il parle les dents serrées pour ne rien échapper aux oreilles de son ami. Néanmoins, il ne peut cacher tant de testostérone. La mâchoire serrée, il cria :
– Pierre! Je saute ta femme! Je baise Belle! Pierre! Je jouis dans ta Belle!
Jacques est enfoui profondément dans Belle, le gland écrasé par la mince chatte et buté au plus creux du col. La première salve électrise le corps de Belle qui ne bouge ni ne respire depuis plusieurs longues secondes. Le chaud liquide gicle dans la vulve et entre leur corps. Émoussée, Belle sent l’épaisse liqueur, qu’elle avait avalée si goulûment, baver contre sa moule. Entre ses fesses, contre la verge de Jacques, des filets blancs se sont mis à couler au sol et le long des cuisses de la jeune femme. Mélange d’amour, de sexe, de jouissance, cette combine réelle d’eau-de-vie chaude témoigne de l’incroyable force de Philippe.
Jacques a tiré la tignasse couleur soleil couchant de Belle au moment où il jouissait. Quand il tire son coup, c’est le corps rabattu vers l’arrière, le visage contre celui de Jacques que Belle explose dans son orgasme. Dans l’extase, les proéminences de Belle ont été prises à pleine main par son amant : les tétons rivés vers le ciel, si clément aujourd’hui. La rouquine tressaille encore entre les bras de Jacques qui a caché sa queue profondément en elle.
– Tellement bon, roucoule Belle. T’es incroyable!
Leur corps pulsent à l’unisson. Son corps nappe la table, elle resterait couchée ainsi quelques minutes encore. Contre le verre, maintenant chaud, son cœur bat fort. Belle peut sentir la semence de Jacques en elle. Sa fatigue est immense d’avoir été baisée si exhaustivement. Sensations indescriptibles de flottement car Jacques a approfondi ses moindres recoins découvrant d’excitantes nouvelles zones.
Il s’assoit sur une chaise, entraînant dans son mouvement sa compagne. Il ne reste que cinq minutes au match. Entre les deux amants, l’espace temporel n’existe plus. Seul un cri de joie de Pierre les ramène à l’urgence de la situation. Dans son sexe la queue de Philippe a finalement ramolli, laissant sur le tissu une flaque aussi indélébile que les souvenirs de Belle. Leur position permet un des derniers baiser de la soirée, aussi bon que de fumer une cigarette.
Toujours fragile, Belle remet son soutien-gorge contre ses seins engourdis et reprend son chemisier tout froissé. Ses tempes rouges battent encore au rythme effréné de son cœur. Elle ne pense même pas à l’alibi pour Pierre puisqu’elle vole encore sur un nuage nommé Jacques.
Titubant vers le miroir, elle replace ses mèches et ses vêtements. Elle examine sa culotte déchirée puis la jette dans le vide-ordure. Assis, Jacques l’admire et se réjouit de son rêve devenu réalité. Elle revient à lui pour l’embrasser, le décolleté plus ouvert que jamais sur sa poitrine essoufflée et généreuse. Elle jette un dernier coup d’œil sur sa queue ramollie et toujours fière. Ses mamelons hérissés, excités, transpercent le soutien-gorge pour de longues minutes encore.
– Magique! Prochaine fois, je te saute dans ton lit quand ton mari est ici.
– Je suis tout à toi, n’importe quand, n’importe comment!
– Et porte ton alliance quand tu vas crier mon nom alors je te pénétrerai.
– Je pourrai finalement m’éclater comme je le souhaite.
Belle se place à genoux et reprit une dernière fois la queue de Jacques. Le nettoyage est nécessaire! Les goûts mélangés de ses propres effluves à celles de son amant la surprennent. Elle est déçue quand Jacques remballa son attirail. Mais une promesse est une promesse et ils se rencontreront très bientôt. La jeune femme est presque présentable avec le visage rose et les vêtements froissés. Jacques remet son haut et vérifie que rien ne manque. Il lui lance une serviette pour qu’elle s’essuie les jambes de sa semence féconde.
Alors que les deux amants finissent tout juste leur séance de baise et que leurs lèvres venaient tout juste de se séparer, Pierre, béat, entra en titubant dans la cuisine.
– Quel match! Alalala! Quelle partie!
S’assoyant à côté d’eux, il s’ouvre une dixième ou douzième bière, tout content de la victoire de son équipe. Invitant Belle sur ses genoux, il remarque son aspect différent. Elle vient vers lui sur ses pieds flageolants.
– Qu’est-ce qui t’est arrivé?
– On a fricoté à manger…
– Tu es toute chaude chérie. Es-tu certaine que tout va bien?
– Je suis un peu étourdie mon amour, Jacques m’a monté une recette de sa province natale.
– Voyons, il sait juste mettre du prés à réchauffer au micro-ondes.
– Tsk tsk Pierre, je sais garnir de crème quelques gueuletons.
Pierre s’en fout déjà et il raconte comment le PSG a culbuté l’équipe de Philippe. Il s’en frotte les mains. Entre ses cuisses chaudes, sa fournaise palpite encore des souvenirs de la queue de Jacques. Belle se colle à lui et l’embrassa, sa langue glissant contre celle de son mari.
Elle a dû préparer la bouffe avec trop de sel : sa langue à un goût très salé se questionna Pierre.
– Tu n’aurais pas aimé. Les chips et la bière sont meilleures. Mais Jacques a adoré et j’en ai pris trois portions ce soir. Je te ferai essayer sans trop de piments, t’aime les plats doux.
– Tu te sentais gourmande! Faut la surveiller Jacques !
– Oui, c’était riche et crémeux la première fois. J’en ai même échappé ici. Pointa-t-elle dans le creux de ses seins.
– Tu ne l’as pas laissée tout faire Jacques ? Faut être moderne. Tu as aidé la femme de son meilleur ami dans la cuisine ?
– Bien sur Pierre ! bien sûr ! Plus que tu ne le crois, parce que je sais que tu te fais des idées sur ma situation de célibataire à répétition.
Et il l’embrasse à nouveau, inconscient de la provenance des liqueurs qu’il suçote de sa femme.
– C’est triste que je n’aie pas pu en prendre plus. Tu connais mon appétit.
– Jacques n’a pas été du genre à se plaindre moi non plus!
– Il me semble que je vous ai entendu. Ça criait un peu, je suis certain que Jacques à fait foirer quelque chose.
Jacques fat des efforts pour ne pas trop rire des sous-entendus de la conversation de sa nouvelle maîtresse. Il la sait prête à le baiser encore souvent. Ils ont tous les deux hâte.
– Moi, je pense que tu en bu pas mal de bière ce soir et que tu entendrais des farfadets si ça existait!
– Si on se faisait une fête la semaine prochaine. Vous pourriez inviter vos amis, je ferai encore à manger pour tous.
– Excellente idée ! Dit Belle on lancera les invitations.
– Je m’en charge, mon amour.
La vie devenait très, très excitante pour Belle !

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