Nadia est italienne ; c’est mon opticienne.

La rime pauvre s’arrête là, mais pas la poésie qui entoure cette femme. C’est même une poésie tout en sensualité qui entoure cette jeune femme pleine de charme.

Le Charme, voilà tout Nadia en résumé. Comment vous dire ? Pas ce Charme évident dès le premier regard, ce charme de magazine qui fait que l’on dirait de cette femme immédiatement : « oui, elle est belle et bien fichue ! ».

Non, Nadia, c’est le Charme absolu, celui qui se construit pas à pas au fil des années, celui qui s’annonce dès que vous vous installez à son bureau pour choisir des lunettes, après tout vous êtes venu pour ça. Vous vous dites en premier lieu « encore une conseillère qui a pour elle son sourire » mais très vite, vous tombez sous son Charme : inévitablement, irréversiblement.

Nadia est une femme brune à la jolie silhouette : un peu plus d’1 mètre 60, guère plus, un corps harmonieux où toutes les courbes sont simplement dessinées. Sous une tenue qu’elle veut toujours soignée, sans aucun doute son sens aiguisé du contact avec le public, se révèlent des jambes aux cuisses et mollets aux lignes très fines : ici pas de maigreur salvatrice, mais de la finesse, toujours de la finesse. Son buste est droit, ainsi que ses épaules, très légèrement musclées, juste « ce qu’il faut », je dirais. Elle porte alors sa veste et son chemisier avec une élégance rare, du matin au soir, quelque soit ses horaires.

Son visage est des plus agréables : on remarque d’abord ses yeux : marron-noir, très brillants : ils étincellent en fait et vous êtes irrésistiblement attiré par eux : Nadia, c’est ce genre de femme avec laquelle vous allez avoir des conversations les yeux dans les yeux, parce que c’est d’abord par là que la connexion se fait entre elle et vous ; cette connexion qui autorise les discussions les plus franches, les plus directes.  Sa bouche est sensuelle : ni pulpeuse, ni trop fine. De jolies lèvres tout simplement, que vous prendriez plaisir à embrasser du lever au coucher, sans oublier la nuit entière aussi. Nadia, c’est enfin une coiffure simple, un carré avec les pointes très effilées qui viennent couvrir au gré de la position de la tête, ses joues. Nadia a les cheveux noirs comme le jais. Cela vient sans doute de  ses origines italiennes. Nadia a 35 ans, elle a 2 enfants : sa maturité, sa plénitude avec les enfants aussi, la rendent adorable.

Nadia attire le regard et puis, elle le capte; clin d’œil, un peu facile, à sa profession. Cela fait d’elle une opticienne d’une redoutable efficacité. Humainement, le pire si j’ose dire, c’est qu’elle ne le fait pas exprès : elle est juste « là », présente et, après le charme physique, arrive le « coup » fatal : un professionnalisme à toute épreuve, fait de conseils techniques et esthétiques avisés, d’une disponibilité sans faille, d’une volonté de trouver l’équipement le plus adapté à la personne assise à ses côtés. Et plus vous parlez avec elle, plus vous vous rendez compte qu’elle est naturelle et que ce positivisme est ancré au plus profond d’elle. Le Charme, d’abord Physique, devient alors Absolu … vous succombez … et vous aimez ça … ce délice à vous laisser emporter par ce Charme, vous l’acceptez, vous le recherchez … vous êtes le Marin, Nadia, la Sirène …Vous êtes le Blessé, Elle, l’Infirmière…

Se posent alors à vous 2 options : laisser faire ce Charme, vous enivrer … sans modération et puis quitter le magasin et repartir vers votre quotidien avec juste le souvenir d’une saveur délicieuse. Ou bien vous dire qu’il n’est pas possible de quitter le magasin sans …  savoir ; sans savoir jusqu’où ce Charme peut vous conduire ; à être éconduit … poliment ou méchamment – après tout, le Charme n’agirait pas que sur moi et moult clients ont certainement succombé avant moi –  ou bien … basculer vers la Sensualité. Rompre alors l’ultime obstacle : la barrière client – conseiller… Bien que naturellement timide, je ne pus me résoudre à quitter la table où nous étions sans savoir. Et de me lancer.

  • « Comment faites – vous ? »  lui demandai – je
  • « Pardon ? comme fais-je quoi ? » me répondit elle , un peu machinalement, tout en restant occupée à saisir mon dossier sur son ordinateur.
  • je répétai : « Comment faites vous ? ….pour gérer ce Charme ? ce Charme absolu ?

Nadia marqua un temps d’arrêt … elle comprit instantanément que la conversation, jusque-là très professionnelle et quelque peu banale,  avait changée de Dimension … de Nature. Comme si elle pensait avoir mal entendu mes propos, elle tourna la tête vers moi, ses yeux quittant l’écran de son ordinateur pour se fixer dans les miens :

  • «  Quel Charme ?? quel Charme absolu ? » me demanda-t-elle ?

Sa question était sincère, jugeai je ; je veux dire qu’en lançant ma question, de façon risquée sans doute, j’avais fait mouche. Personne avant moi peut-être, ne l’avais abordée comment cela. Bien sûr, de nombreux clients, depuis qu’elle officiait dans ce magasin, avait tenté « quelque chose » avec Nadia ; soit qu’ils fussent trop direct, soit pas assez ; soit impolis ou trop insistants, elle n’avait donné suite à une quelconque approche extra-professionnelle de la part de ses clients. Mais là, la question était tombée si spontanément et bien que sans habillage et directe, elle restait correcte à ses yeux. Sans s’en apercevoir même, Nadia avait accepté de rentrer dans un jeu subtil. Elle accepta l’échange.

  • je développai :« le Charme qui fait de vous une séductrice absolue : sans vous en rendre compte, vous faites chavirer un homme ; vous pourriez en faire ce que vous voulez, mais vous ne le faites pas ; vous n’en abusez pas ; vous êtes là, et par votre seule présence, vos seuls propos et votre sourire, vous faites entrer un homme en ébullition »
  • « c’est peut-être un peu exagéré, ce que vous dites, non ? » me dit-elle
  • j’enfonçai le clou : « Croyez vous un instant que je serai capable de me lancer dans cette conversation, si, depuis que je me suis assis à votre table,  je n’y ai pas succombé ? à l’instant où je vous parle, et depuis que vous m’avez proposé d’essayer cette paire de lunettes, je vous observe : tous vos gestes sont gracieux, tous vos sourires sont sincères, tous vos conseils sont pertinents, et tous vos regards vers moi … m’incendient ; et pendant que tout cela se passe, vous semblez n’en avoir conscience ; vous restez naturelle ; vous ne cherchez pas à séduire, à survendre la première paire venue, à fuir mon regard… ; vous êtes d’une élégance rare, naturellement entretenue : votre maquillage vous mets en valeur et pourtant vous ne vous limitez qu’à souligner vos yeux d’un coup de crayon noir, votre rouge à lèvres mette votre bouche également en valeur ; sans être outrageant ; vos habits eux aussi sont élégants et suivent délicieusement le contour de votre silhouette qu’on a … juste envie d’étreindre : de la tête aux pieds …. »

Nadia sembla déstabilisée ; effectivement, quelques clients précédemment avaient bien cherché à la draguer ; mais je voyais que ma tirade l’interpellait : je n’avais pas été grossier ou vulgaire, comme certains autres, trop souvent… j’avais porté la discussion sur une autre dimension ; Nadia ne me répondit pas immédiatement ; comme moi, elle avait compris que nous avions changé de Monde :  elle, avait bien conscience qu’elle devait plaire un peu aux hommes, et pour moi, elle devinait que je n’étais pas un habitué de la « drague de centre commercial», voire même de la drague tout court … Nadia eu l’intelligence de comprendre que de mon côté, je n’avais eu comme unique envie que de vivre un moment intense d’échange. Elle marqua un long silence ; son visage était éclairé, lumineux ; quoiqu’elle fasse et quoiqu’elle répondit, même si notre conversation évoluait défavorablement, je me sentais en confiance car je l’avais emmené sur le terrain intense d’un rapport humain. Ma simple visite, poussée par un humble besoin médical, m’avait conduit dans un autre Monde : l’abandon de tout masque entre un homme et une femme et une sincère franchise sur un terrain sensuel : je savais que quoiqu’il arrivât, je me délecterais à jamais d’un tel rendez-vous. Nadia ne disait toujours rien, mais ses yeux demeuraient étincelants.

Elle allait ouvrir la bouche pour me répondre, mais en fait, se tourna en direction d’un autre bureau du magasin et, s’adressant à quelqu’un qui me sembla être le responsable, dit :

  • « Paul, je vais prendre ma pause maintenant si ça ne gêne pas …. »

Elle ne sembla même pas écouter la réponse de celui-ci et me regarda encore plus intensément. Elle me dit :

  • « J’ai fini toute la saisie de votre dossier ; je crois que c’est bon ; et maintenant, je crois que j’aimerais que vous m’accompagniez pour ma pause-déjeuner »
  • « Merci », murmurai-je …. «  Bien sûr ; je ne peux qu’avoir envie de vous accompagner »

Elle se leva, pris son sac à main enfermé dans un tiroir du bureau … Je me levai également et elle se mit en marche … je la suivis sans rien dire mais mes yeux, encore plus qu’avant, couvraient sa silhouette en permanence : mon regard se posait sur ses cheveux, sa nuque ; j’aimais déjà son dos et sa chute de rein ; ses fesses étaient joliment dessinés et je souris à la vue de la fermeture éclaire de sa jupe ; cette simple fermeture éclaire était le symbole de Nadia en quelque sorte : discrète, mais dès qu’accessible, le Monde du Charme absolu se dévoilerait …
En fait, Nadia me conduisit à sa voiture : je le sus quand nous quittâmes le magasin, véritable franchissement de la frontière client-vendeur, puis nos nous dirigeâmes vers une des sorties du centre commercial, puis une partie du parking un peu à l’écart ; Nadia m’expliqua que c’était la partie où traditionnellement, les employés des magasins du centre viennent se garer ; en particulier, la zone semblait plus sûre à la fermeture des boutiques le soir quand les derniers employés quittent les lieux. Nadia possédait un monospace : à quelques mètres de distance, elle plongea sa main dans son sac et je compris qu’elle commandait l’ouverture du véhicule ; un peu contre-nature, c’est elle qui m’ouvrit l’une des portes à l’arrière : je montai dans le véhicule et elle m’imita. Dans le mouvement, elle revérrouilla les portes et tira les pare-soleils. Nous marquâmes quelques secondes d’arrêt. Nadia soupira et murmura :

  • « Mon dieu, que suis-je en train de faire » murmura-t-elle …

Je la regarda , amusé de son tourment … Elle n’avait rien à craindre … mais elle avait à tout à Saisir : l’instant d’être aimé par cet inconnu, simplement chanceux d’avoir osé s’ouvrir à elle par cette question franche et directe.

Tous les deux assis à l’arrière de son monospace, dans un coin plutôt tranquille du parking, nous nous regardions les yeux dans les yeux … mon regard fixé à celui de Nadia, je vis qu’elle se libéra elle-même de son tourment… répondant elle-même à sa propre question : elle avait envie de cet homme. Encore client il y a quelques minutes, en montant dans sa voiture, j’étais devenu son partenaire, son complice.

Je me rapprochai d’elle.

Encore plus prêt.

Mes mains se posèrent sur ses joues. Je rapprochai mes lèvres des siennes alors.

D’habitude, je ferme les yeux quand j’embrasse une femme. Mais là, j’avais envie de voir encore son regard, ses yeux, quand mes lèvres se posèrent sur les siennes : le Plaisir de voir son Envie au fond de ses yeux, le Plaisir de sentir ses lèvres au contact des miennes ; en même temps.

Je ne fus pas déçu de son accueil : son regard resta illuminé d’Envie et je ressentais son désir d’être embrassée … mes baisers furent doux, sensuels. Je l’embrassai délicatement, mais aussi intensément . N’hésitant pas à déborder un peu vers ses joues, je déposai des baisers tendres mais appuyés…. Mes mains toujours posées sur le haut de ses joues.

Je la vis alors clore les yeux… je sentis que mes baisers l’envahissaient …. Un petit gémissement m’indiqua qu’elle se libérait encore plus pour se laisser aller à notre Rencontre.

Ma langue entra en jeu, s’associant à chacun de mes baisers. D’abord  en restant en contact avec ses lèvres, ma langue partait à la rencontre de la sienne. Comme un ami cherchant une amie : sa partenaire de jeu . Elle accepta l’échange, la danse. Nos lèvres, nos langues se mêlèrent. Toujours un peu plus profondément … intensément … nos langues se parlaient, se répondaient à l’entrée de nos bouches … pas de baisers profonds .. du moins pas encore…

Mes mains ne restèrent pas inactives, caressant tout à tour sa nuque , son cou, ses épaules. Chaque partie du haut de son corps me plaisait : son cou pour sa sensualité, sa douceur ; sa nuque pour sa sensibilité : Nadia gémissait à chaque caresse sur sa nuque … Ses épaules fermes mais délicates. Seule partie couverte elle encore de tissu offerte à mes lèvres.

Nos baisers se poursuivaient, nos langues plus fermes encore ; plus joueuses aussi … Mes mains s’aventurèrent à déboutonner son chemisier. Suffisamment bas pour me permettre de dégager ses épaules et les livrer à de premiers baisers, peau contre peau . Suffisamment bas aussi pour me permettre de libérer l’accès à la poitrine de Nadia ; comme si je voulais dire à ma complice de cette excitante étreinte que nous basculions vraiment . Maintenant. A cet instant. Que nous ne nous arrêterions pas à quelques embrassades et caresses du haut du corps. Mais que « l’affaire » était sérieuse et que je la Désirais !

Nadia aima cette audace ; en fait elle adora l’association de baisers tendres mais précis ; de caresses sensuelles sur ses épaules, mais aussi la manifestation que cet Homme la voulait intensément! Se laisser Prendre comme cela ? Rien ne lui interdisait après tout … Elle assumait ce Désir qui montait en elle.. Ce Désir qu’elle reconnaissait comme vitale à sa vie …aussi vitale que l’oxygène, et qui, invariablement, mais si délicieusement, prenait le contrôle de son entre-jambe … Son désir l’humidifia … se nourrissant de cette propre excitation à sentir sa fente réagir aux caresses et aux baisers de cet Homme.

Nous avions tous les deux conscience du chemin que nous empruntions alors … pas celui du flirt … mais celui de l’étreinte : sensuelle, douce mais aussi intense. Qu’importe ce lieu aussi commun qu’une voiture, un parking; le lieu n’était qu’un cadre. Comme pour un tableau, c’est l’Œuvre à l’intérieur qui comptait ; Et Nadia et moi, nous étions bien à l’Œuvre, justement. S’embrassant, se caressant … moi prenant son visage ou ses cheveux entre mes mains. Elle, embrassant la base de mon cou et remontant le long de celui-ci.

Mon corps, tout comme celui de Nadia, se soumettait à mon Désir : je sentais mon membre se durcir ; se gorger de sang …il serait bientôt temps de le libérer de son carcan de tissu.
Des épaules, mes mains descendirent vers les seins de Nadia. Offerts. Le contact fut « chaud », ferme et pour un « spectateur » pas initié à cette Passion, quasi brutal d’abord : chacune de mes mains se déposa sur un sein et l’enveloppa. Mieux, chacune se saisit d’un sein… Nadia gémissait de Plaisir : elle reconnaissait que cette fermeté sur ses seins lui avait procurer un spasme de plaisir du ventre à son minou, elle l’avait ressenti comme tel. Fulgurant, déjà … puis s’installant en elle … Humide, elle était … Elle adorait cette sensation qui emportait tout … et qui se renforçait sous mes caresses … De fermes, elles étaient devenus sensuelles et câlines. Nadia avait une poitrine aux seins bien ronds. Pas forcément imposants, leurs formes parfaitement dessinés et un maintien toujours ferme, leurs donnaient toutes leur féminité et tout leur attrait … Nadia les trouvaient « classiques », sans doute, mais moi je me délectais de leurs courbes : de creux en monts jusqu’aux mamelons, ma langue parcourait cette offrande gourmande . Je sentais ces seins durcir sous l’excitation que procuraient mes baisers. J’imaginais, un peu prétentieusement, que cette excitation se retrouvaient au niveau de son minou…

« j’ai envie de te branler, Nadia », lui murmurai-je entre 2 baisers …
« j’en ai très envie aussi… ma fente te réclame », se contenta-t-elle de répondre. Elle savait qu’il n’était pas nécessaire d’en dire plus… cette étreinte lui était délicieuse …. Elle jouissait, mouillait comme elle aime le ressentir…. Respirer .. « oh, oui, Respirer ce Plaisir » trouvait elle encore la lucidité de penser dans ce moment de communion….

Mes doigts remontèrent sa jupe … tout de suite très haut sur elle, de façon à dégager ses jambes, cuisses et entre-jambe immédiatement… Une nouvelle fois, cette audace, ce « culot » à la découvrir si promptement l’excita toujours plus … Elle ressentait que ce n’était pas un trop plein d’assurance, de machisme, qui dictait mes gestes … Mais bien, comme pour elle, cette envie de réaliser d’un coup cette « chute » vers une Rencontre intense… Elle partageait à cette instant avec moi l’idée que quand on « bascule », on ne tombe pas au ralenti comme au cinéma. On chute. Et moi, comme elle, nous chutions ensemble : une chute Libre vers le Plaisir.

Je pris tout de même mon temps pour remonter jusqu’à son entre-jambe : que voulez-vous, ses cuisses étaient divines : toniques, musclées, mais pas trop … et une peau d’une douceur incroyable… mes doigts prirent leur temps : du genou, ils remontèrent d’abord sur le dessus de la cuisse, puis redescendirent plus sur l’extérieur ; là, ma main repris le dessus : se saisissant de la cuisse, j’intimai à celle-ci « l’ordre de s »carter « de ma route » … « oui, écarte toi, Nadia. Entrouvre toi à mes doigts … Nadia était plus qu’à mes ordres, si je puis dire : elle les devançait ; elle écarta les 2 cuisses pour me laisser le chemin plus que libre …. Mes doigts s’engouffrèrent en écartant sa culotte … Nadia offrait sa fente au jeu de mes doigts … je commençais à la branler doucement … elle se mis à râler de Plaisir  immédiatement … Elle voulait sentir cet Homme la branler … Il lui arrivait de se caresser aussi, toute seule mais elle n’avait jamais bien su pourquoi, les Plaisirs étaient différent avec un homme.. différents mais tous deux savoureux … et à cet instant, Nadia savourait mes caresses …. Elle aimait sentir mes doigts se jouer de son bouton ou pénétrer plus profondément sa fente … « oh oui, viens ! » me dit-elle … un doigt s’aventura plus profondément … le râle de plaisir se fit lui aussi immédiatement plus profond …  et un nouveau spasme de plaisir agita le bassin de Nadia …

J’étais moi-même excité comme un fou à la vue de ce Charme Absolu en pleine jouissance … Mes caresses se poursuivaient … Je me penchais vers Nadia et lui murmura à l’oreille : « Libère moi ! » … Jouissant, les yeux fermés, se mordant les lèvres, Nadia eu un délicieux sourire en entendant ma supplique. Elle aimait jouir sous les caresses d’un Homme mais elle jouissait aussi du plaisir qu’elle procurait à l’Homme qui la regardait jouir … Moi, effectivement, le sourire de Nadia et ses gémissements me procuraient beaucoup de plaisir. Cette Femme me rendait incandescent !

Je dus interrompre quelques instants mes caresses pour laisser à Nadia l’occasion de déboutonner ma ceinture et mon pantalon. J’aime que ma complice fasse cela ; non que je sois paresseux, mais je trouve, peut-être de façon un peu idiote,  que c’est le dernier moment où la femme donne son accord pour ce qui va suivre …

Mon pantalon  et mon caleçon furent rapidement à mes pieds … mon sexe, totalement dégagé à présent, s’offrait à Nadia …Elle se rapprocha de moi ; m’embrassa délicieusement la bouche, le cou … « à mon tour de te « donner » ces douces caresses aussi , mon Cœur »  me dit elle . Sa main glissa vers mon membre dressé … Elle l’enserra … Répondant à ma propre fermeté sur ses seins quelques minutes auparavant, elle m’appliqua le même « délicieux châtiment » : sa main enveloppa mon sexe avec autorité, mais ces caresses démarrèrent doucement ; assumant ce contraste, me fixant de son regard étincelant, Nadia s’appliquait à entre la plus douce possible dans ses va et viens de la main … parfois elle s’arrêtait quelques secondes : sa main desserrait son étreinte, ses doigts s’appliquait alors sur mon gland …puis sa main se refermait sur mon sexe et le va et viens reprenait … Nadia s’arrêtait un peu après … ses doigts se libérant de nouveau pour cette fois, descendre plus profondément dans mon entre-jambe… Ces caresses étaient divines, me procurant une excitation extrême. A tour d’avoir la respiration courte, les râles de plaisir ….

Elle se fit plus entreprenante encore, son Corps, son Humidité lui dictant de l’être … « je veux te chevaucher maintenant » me dit elle avec un large sourire … « j’aime tant ça », se sentit elle obligée de confesser … « n’hésite pas ! » fut ma seule réponse …

Nadia ne me demanda pas une deuxième « autorisation » ; d’un geste rapide, elle retira sa culotte qui aurait pu nous gêner dans un tel moment… Puis elle reprit le temps de m’enjamber… J’étais alors assis sur la banquette, au milieu. Elle fit glisser sa jambe droite sur moi, doucement … sensuellement …j’en profitai pour remonter totalement sa jupe sur ses hanches … lui découvrant totalement le ventre et les fesses …. Elle se positionna face à moi et se laissa descendre en direction de mes cuisses …. Nos sexes se trouvèrent facilement …. La pénétration immédiate … Nos gémissements de plaisir furent synchrones ! un divin plaisir se répandait en nous , simultanément ….

Nadia imprimait le rythme de notre danse … Elle jouait de son ventre, de son bassin, si délicatement …. Je jouissais du spectacle de cette femme envahie de Plaisir, soumises à des spasmes incontrôlables de jouissance … je sentais son sexe entouré le mien … l’enserrer, puis se relâcher sous l’effet de contractions de plaisir.

Mes mains s’étaient saisies des fesses de Nadia. La tenant ferme, c’était pourtant elle qui donnait le rythme à notre étreinte. J’aimais lui caresser les fesses et remonter sur ses hanches. Parfois, je la tenais un peu plus fermement quand elle remontait sur mon sexe . Nous restions quelques secondes dans cette position… Sentant que je relâchais mon étreinte, Nadia redescendait son bassin, s’empalant sur mon membre dressé une fois encore… Son jus coulait, m’inondait à mon tour ….

De plus en plus, la respiration de Nadia s’accélérait autant qu’elle accélérait sa danse sur mon sexe.

Un spasme de plaisir encore plus fort que les précédents arriva .. il était irrésistible mais Nadia n’avait surtout pas envie de lui résister … Elle adorait cette Jouissance fulgurante. Se retenant jusque-là par peur d’attirer l’attention peut être de l’extérieur, elle renonça à étouffer son cri de Jouissance pour cet ultime vague au sein de son ventre ….en même temps qu’elle cria, elle se figea sur mon sexe, se laissant envahir en un instant ….

Je viens immédiatement …

J’explosai en elle …. Mon jus se répandit en plusieurs de mes propres spasmes en elle …. « Je Te sens », murmura-t-elle … « Je Te sens » répéta-t-elle  ….

Mes mains continuaient à caresser ses fesses … puis ses cuisses … à chaque passage sur ses cuisses, Nadia réagissait à l’extrême sensibilité qui s’était rependue dans tout son corps, mais en particulier vers son bas-ventre ….

De longues secondes furent nécessaires pour que nous retrouvions notre souffle, puis, une forme de sérénité …. Nadia restait sur moi ….ses mains caressaient ma nuque … sa tête restant enfoui au creux de mon cou … Je lui embrassais le front  … Elle me répondait d’un baiser dans mon cou …

Au bout de quelques minutes, reprenant ses esprits, elle se redressa un peu plus ; de façon à mettre son visage au niveau du mien… Elle me regarda dans les yeux … Longuement …un regard de gourmandise , de drôlerie aussi … un large sourire apparut alors, puis un rire en fait …

Voyant mon air étonné, elle se sentit le devoir de me faire partager ses pensées : « n’oublie pas que tes montures seront prêtes dans 3 jours !!»

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