J’avais hésité avant d’accepter de l’accueillir chez moi quelques jours pendant son passage sur Paris. Je ne le connaissais pas vraiment. Et puis je le soupçonnais d’avoir envie de faire l’amour avec moi. C’est vrai que l’idée de le faire avec un homme m’avait parfois traversé l’esprit mais j’avais vite oublié. J’ai accepté cependant. Peut-être avais-je deviné ce qui se passerait. Peut-être même que je le désirais…

Le début du séjour fut sans incident et mes réticences premières tombèrent peu à peu. J’en oubliais même de m’enfermer dans la salle de bain quand je prenais ma douche et il me surprit nu, en train de me masturber. Par accident, pensais-je. Il referma la porte sans rien dire, mais je vis un sourire se dessiner sur ses lèvres. Je me sentis un peu gêné mais lui ne semblait pas s’en formaliser et je finis par oublier moi aussi. Son départ approchait et je me surpris à penser à son sexe alors que je faisais la vaisselle. Il choisit ce moment pour venir se coller à moi. Je sentis ses lèvres sur mon cou et son sexe contre mes fesses. Je demandais, le souffle déjà court d’excitation :
« – Qu’est… Qu’est-ce que tu fais ? »
Il susurra :
« – Tu n’as pas une petite idée ? »
Il posa sa main sur ma braguette et l’ouvrit doucement. Puis il glissa sa main à l’intérieur et caressa ma verge qui commençait à durcir. Il murmura :
« – Moi je pense que oui… »
Je me retournais alors et le repoussais. Il recula d’un pas et me lâcha. Mais ses yeux me fixaient. Alors je saisis son cou et l’embrassais. Puis je demandais à nouveau :
« – Qu’est-ce que tu veux ? »
« – Je veux te sucer. Je veux que tu m’encules. »
Je rougis de ses mots. Je l’embrassais à nouveau, langoureusement. Puis il s’agenouilla, sortit mon membre et le lécha. Sa langue et sa salive me rendaient fou. Il m’avala alors. Je ahanais de plaisir. Enfin je repris mon souffle et le fit relever pour lui glisser à l’oreille :
« – Changement de programme. C’est moi qui vais te sucer. Et c’est toi qui va… »
Je laissais ma phrase en suspens alors que mes doigts allaient chercher son sexe. Il sourit :
« – Et c’est moi qui vais… Te sodomiser ? »
Je hochais la tête en le masturbant. Il passa sa main sur ma joue et sourit :
« – Tu es plus audacieux que je ne le pensais… »
Je rougis de plus bel et m’apprêtais à m’agenouiller mais il me retint :
« – Allons dans la chambre plutôt. »
« – Oui… »
Je restais à le fixer en le branlant frénétiquement. Il murmura alors :
« – Si tu continues je te gicle dessus. »
J’ôtais vivement ma main et bafouillais :
« – Par… Pardon. »
Il m’embrassa puis dis :
« – Pas grave… »
Et nous allâmes tout deux dans ma chambre.

Je m’assis sur le bord du lit, baissant les yeux, un peu perdu. Il vint s’asseoir à mes côtés et nous nous embrassâmes. Je recommençais alors à le caresser, plus doucement cette fois. Enfin je glissais au sol. J’admirais sa verge tendue et la fit courir dans ma paume. Puis je le léchais sur toute la longueur. Enfin je suçotais son gland. Je levais les yeux et souris en voyant qu’il fermait les yeux en soupirant. Je l’avalais alors, aspirant et léchant. Il chuchota :
« – Tu suces bien… »
Je ne répondis pas, bien sûr. Je suçais juste avec plus d’application, de ferveur. Il me caressait doucement les cheveux en continuant à me féliciter. Puis je vis son sexe s’éloigner alors qu’il s’allongeait sur le lit. Je le suivis sans réfléchir, les yeux rivés sur mon objectif. J’avalais à nouveau, profondément. Je sentis qu’il me tirait par la cuisse et vins me placer au dessus de lui. Il me suça à son tour et je faillis me laisser aller à gicler entre ses lèvres. Mais je voulais rester dur pour la suite, que mon excitation soit totale. Alors je me retins. Sa langue glissa alors sur mes bourses puis je sentis ses doigts sur ma rondelle. Il m’en enfila un. Puis, rapidement, deux. Ils allaient et venaient et sa langue lubrifiait ses doigts en caressant mon anus. Il dit :
« – Tu es déjà bien dilaté. Tu es fait pour ça tu sais. »
« – Je… Oui, peut-être… »
« – Tu aimes ? »
J’hésitais. Mais je ne pouvais mentir et fini par avouer dans un soupir :
« – Oui… »
« – C’est bien. J’ai envie de bien te dilater et te lubrifier pour moi. »
« – Moi aussi je vais te lubrifier alors… »
Je commençais alors à saliver abondamment et entrouvris les lèvres en gobant son gland. Je bavais sur sa verge. Puis je crachais dessus. J’attendis que la salive ait bien coulée et je l’étalais avec ma main. Puis je l’avalais entièrement et salivais autant que je pouvais en montant et descendant. Il donna un coup de rein et soupira :
« – Putain, tu es doué ! »
Puis il écarta mon cul avec ses index et y plongea sa langue. Il la passa tout autour des parois de mon anus puis finit par dire :
« – Je crois que c’est bon. Et, de toutes façons, je vais t’exploser en bouche si tu continues… »
« – Vas-y, je suis prêt. »

Je sentis sa hampe humide de ma salive glisser sur mon ventre alors qu’il se redressait. Je me penchais en avant et lui tendais mon fessier. Il saisit fermement mes hanches et je crains un instant qu’il n’entre violemment. Mais il pénétra en douceur mon anus pourtant bien dilaté. Sa verge coulissa sans peine. Je sentis cependant qu’il se retenait, qu’il pouvait y aller plus profond, plus fort, plus sauvagement. J’étais soulagé mais je lui en voulais un peu de me ménager ainsi. J’oubliais bien vite tout ceci pour savourer cette sensation nouvelle pour moi : je me faisais limer le cul par un homme. J’avais souvent sodomisé mes compagnes. Mais jamais l’inverse. Même pas avec un gode. C’était pourtant délicieux, je comprenais mieux les cris de plaisir de mes partenaires. Peut-être devrais-je être plus doux à l’avenir ? Je sentis alors ses doigts caresser ma verge. Il me branlait doucement, en rythme avec ses assauts. Je ahanais de plaisir. Mais je murmurais :
« – Arr… Arrête. Si j’éjacule mon cul va se rétrécir… »
Il ne dit rien et cessa ses mouvements. Il donna encore quelques coups de rein puis sortit de mon cul. Je me redressais alors et demandais :
« – J’ai… J’ai fait quelque chose de mal ? »
Il me regarda et sourit :
« – Non. Mais j’ai envie de te toucher la queue. Je crois qu’il vaut mieux changer de position pour éviter que je sois tenté… »
Je fronçais les sourcils mais dis simplement :
« – Ok. »

Il me fit m’agenouiller à côté du lit puis poser mon torse sur le lit. Mon sexe était plaqué entre les draps et mon ventre. Cela le rendait en effet moins accessible. Il eut un petit sourire en coin avant de recommencer à m’enculer et je compris vite pourquoi : chacun de ses assauts caressait mon sexe sur les draps, le stimulant. Je voulus lui dire d’arrêter mais n’y parvins pas : sa bite me faisait maintenant trop de bien. Sans surprise je finis par éjaculer en agrippant le drap. Je sentis mon foutre sur mon ventre. Je sentis aussi qu’il en profitait pour donner un coup de rein plus prononcé. Je marmonnais :
« – Non… Arrête… Mon cul… »
Mais il ne s’arrêta pas. Au lieu de me limer il donnait des coups sec qui emportaient son sexe loin en moi. Il murmura :
« – Tu aimes, vile salope ? »
L’insulte me fit frémir de plaisir. Je répondis alors :
« – Tu me bourres bien, mon salaud… Tu avais prévu que je jute, hein ? Tu avais prévu que ta petite chienne ne résisterait pas ? »
« – Oui. Et j’avais prévu que la sale pute que tu es accepterais encore ma verge après… »
« – Umm… Oui. Qu’est-ce que je suis cochonne ! »
Il rit puis recommença à me prendre un peu plus fort qu’avant. Je savourais en silence, gémissant juste quand il poussait un peu trop. Ou quand mon membre qui ne mollissait pas m’envoyait des décharges de plaisir dans tout le corps.

Enfin je le sentis à bout lui aussi. Je balbutiais alors en tendant mon corps vers le ciel alors qu’il me prenait encore plus fort :
« – Laisse… Laisse-moi te sucer. Laisse-toi aller entre mes lèvres. »
Il ne dit rien mais recula et me laissa venir caresser et lécher sa hampe. Je lui souris et gobais son gland. Puis j’aspirais en le masturbant avec ardeur. Il gicla dans ma bouche. Je savourais sa semence puis l’avalais d’un trait. Il inspecta ma bouche pour s’assurer que j’avais tout fini. Puis il s’assit et je vins le sucer à nouveau sans qu’il me le demande. Il soupira et caressa mes cheveux :
« – Tu en veux encore, gourmande ? »
Je léchais avidement son membre en répondant :
« – Umm… Oui. Mais j’ai une faveur à te demander. »
« – Ah ? Laquelle ? »
J’allais alors m’installer sur le lit et m’allongeais sur le ventre, la tête sur l’oreiller. Je le regardais en me doigtant l’anus. Puis je suçais mes doigts avant de dire :
« – Arrête de te retenir. Je suis bien dilaté. Bourre-moi à fond. »
« – Comme tu le désires. »
Je le vis s’approcher et posais ma tête sur mes bras croisés. Je fermais les yeux en soupirant. Lorsque je sentis son sexe écarter mes fesses je lui dis :
« – Tu sais quoi ? »
« – Non. »
« – Je suis ta petite pute. »
Il se pencha vers moi et m’embrassa. Puis il me glissa à l’oreille :
« – Oui, tu l’es. Et je vais bien te défoncer… »
« – Umm… J’ai envie… »

Il prit alors appui sur mes épaules et enfonça profondément sa verge. Je grognais de douleur. Il m’ignora et commença à me ravager le cul. Je criais un peu, pour la forme. Je l’entendais haleter alors qu’il donnait le meilleur de lui-même pour me prendre comme je le méritais. Enfin il m’annonça entre deux claquements de sa peau sur la mienne :
« – Tu vas t’en prendre plein le cul. »
« – C’est déjà fait, non ? »
Il commença à rire mais fut coupé par un râle alors qu’il se vidait en moi. Il donna encore quelques coups et s’effondra à mes côtés. Je ne pus me retenir d’aller lécher sa queue. Il rit :
« – Quelle gourmande décidément ! »
Puis il demanda alors qu’il me caressait doucement :
« – Tu veux que je te suce ? »
« – Non, laisse, je vais le faire ? »
« – Hein ? »
« – Regarde. »
Je me pliais alors en deux et parvint à lécher puis sucer mon gland. Il se releva sur son avant-bras et poussa sur ma nuque. Je grimaçais un peu mais parvint à avaler un peu plus ma verge. Il rit de nouveau :
« – Tu es pleine de surprise, ma salope ! »
Je répondis la bouche pleine :
« – Moui… Fa t’excite ? »
« – Oh que oui ! »
Je continuais alors et ne tardais pas à sentir ma semence envahir ma bouche. Je la gardais sur ma langue et nous nous embrassâmes, échangeant mon sperme. Nous avalions ensuite tout deux et il se lécha les doigts avant de dire :
« – La prochaine fois je remplis ta bouche avec nos deux semences… »
« – Umm… Oui, bonne idée ! »

Je posais ma main sur son sexe et constatais qu’il était de nouveau raide. Je souris en lui léchant la hampe :
« – Je te fais de l’effet, mon salaud… »
Je m’assis sur son visage et il me lécha le cul avant d’y enfourner ses doigts :
« – Oui. J’aurais du te baiser plus tôt. »
« – T’inquiète. Tu es le bienvenue. Ma porte sera toujours ouverte pour toi. »
Je tapais sur mes fesses en riant :
« – Celle de mon cul aussi ! »
« – Dois-je prendre ça pour une invitation ? »
« – Non. »
Je me penchais alors et tendais mon fessier en l’air :
« – Mais ça, oui, c’en est une ! »
Il rit puis se plaça derrière moi en annonçant gaiement :
« – Alors enculons ça tant que c’est chaud ! »
« – Umm… Oui, fourre-moi bien… »
Je fermais à nouveau les yeux et me préparais à souffrir de plaisir. Je rouvris les yeux et demandais cependant :
« – Tu ne regrettes pas trop ? »
« – Quoi donc ? »
« – Que je ne t’encule pas. »
Il répondit avec enthousiasme :
« – Pas le moins du monde ! »
Je reposais ma tête sur le drap et soupirais :
« – Tant mieux alors, tout le monde est content… »
Puis il me déchira à nouveau l’anus avec une ardeur renouvelée…