Luc et moi avions décidé de sortir boire un verre. Il faisait tiède dans les rues, une belle soirée d’été. Chacun très pris par nos activités professionnelles, nous avions eu peu de temps à nous consacrer les semaines précédentes et c’est pourquoi nous avions envie de prendre un peu l’air.
Nous nous sommes installés sur la terrasse d’un café. Le jour était presque tombé. Je profitais d’écouter le cliquetis des couverts sur les assiettes, les voix pressées des serveurs qui criaient leurs commandes et d’une petite brise nocturne qui nous apportait l’odeur de la mer. Nous bavardions de choses et d’autres, juste contents de se retrouver un peu.
Nous attendions des amis un peu plus tard.
Luc jetait de temps à autres des regards à la table d’à côté. Une jeune fille d’une vingtaine d’années les lui rendaient discrètement. Je n’étais aucunement importunée par le fait que mon petit ami lorgne une autre fille. Elle était même plutôt jolie et j’étais flattée qu’elle apprécie l’insistance de Luc.
Elle portait une robe courte en lin blanc qui laissait entrevoir toutes ces courbes harmonieuses. Sa poitrine généreuse était soutenue par ce qui apparaissait comme un haut de maillot de bain se lassant autour de sa nuque. Ses jambes étaient longues et fines. Sur sa peau hâlée se reflétaient la lueur dansante des bougies qui venaient d’être allumées. Son visage fin était plutôt typé. Elle pouvait être italienne ou espagnole. Sa bouche était appétissante, ses yeux pétillaient de l’avidité de plaire. De longs cheveux noirs, légèrement ondulés retombaient avec allégresse sur ses épaules dénudées.
Après l’avoir soigneusement étudiée, je comprenais qu’elle plaise à Luc. Elle me plaisait à moi aussi. Nous continuions à discuter et je ne fis aucun commentaire malgré leurs échanges de regards, puis de sourires de plus en plus manifestes. L’homme qui accompagnait la jeune fille, vraisemblablement plus âgé qu’elle, se leva et s’en alla en lui embrassant affectueusement la joue. Je pensais que ce devait être son père.
Elle se leva à son tour, nous offrant l’entièreté de sa silhouette harmonieuse. Je fus attirée par ses fesses rebondies et gracieuses. Je vis en transparence son string sous sa robe, détail qui n’échappa pas non plus à Luc. Elle se baissa pour ramasser son sac nous permettant ainsi de profiter pleinement de la vision de son cul et de ses cuisses.
Mais, on lieu de suivre l’homme qui prenait la direction de la route, elle pénétra dans le restaurant. Elle en ressortit quelques minutes plus tard. Je fus très surprise lorsqu’elle s’arrêta à notre hauteur et me demanda d’une voix délicate si elle pouvait s’asseoir avec nous :
– J’attends des amis mais la table que j’occupais à côté de la votre est maintenant occupée » dit-elle en s’excusant.
Luc et moi échangeâmes un regard complice avant d’accepter avec courtoisie. Elle déplaça un peu sa chaise de façon à se trouver plus près de moi que de Luc. Nous procédâmes alors aux présentations d’usage. Elle s’appelait Carla. Elle avait 26 ans et était étudiante en arts plastiques. Au beau milieu d’une conversation ayant pour sujet l’art contemporain, le téléphone de Luc sonna. Il répondit. C’est alors que je sentis la main de Carla se glisser sur ma cuisse nue.
Elle me caressait doucement. C’était aussi agréable qu’inattendu. Luc raccrocha. Nos amis ne viendraient pas, ils avaient été retenus. Luc proposa alors de rentrer. Émoustillée par les caresses de Carla, je m’empressais d’ajouter que nous pourrions inviter cette dernière à continuer la soirée à la maison. Elle accepta avec plaisir. Mon esprit fut peuplé de fantasmes tout au long du trajet de retour. Je pouvais sentir le parfum de Carla, chaud, puissant, que la brise m’amenait par vague. Son corps ondulait gracieusement au rythme lent de ses pas. Ses seins lourds suivaient le mouvement avec souplesse. Je fus envahie par le désir d’elle.
Arrivés la maison, Luc se rendit à la cuisine pour nous préparer ses cocktails dont il a la spécialité. Je restais donc seule avec Carla dans le séjour. Nous étions debout devant la bibliothèque à parler des ouvrages qui s’y trouvaient lorsque je sentis à nouveau le contact de sa main, à travers le tissu de ma jupe cette fois. Ses doigts se faufilaient subtilement dans la raie de mon cul. Une immense excitation m’emplit. Son souffle chaud se rapprochait de moi tandis que ses lèvres s’approchaient des miennes. Sa langue toute entière pénétra dans ma bouche avec volupté.

Luc arriva au même instant dans la pièce, ravit par ce spectacle. Nous étions toutes les deux conscientes de la présence de Luc et pourtant, ni l’une ni l’autre ne se tourna d’emblée dans sa direction, trop prise par notre langoureux baiser.
Une intense chaleur se répandait dans mon corps pendant que Carla, tout en continuant à m’embrasser pris l’un de mes seins dans sa main. Elle m’enleva mon haut, me laissant en sous-vêtements. Ses lèvres parcouraient ma poitrine.
Elle dégrafa mon soutient-gorge déversant ainsi ma grosse paire de sein. Ma culotte humide ne demandait qu’à être arrachée. Je mouillais abondamment. Carla suçait mes tétons tantôt avec délicatesse tantôt avec férocité. Le spectacle de sa langue rose et frémissante m’excitait terriblement. Les yeux de Luc étaient remplis de désir et je pouvais voir la bosse que formait sa bite sous son pantalon prendre de plus en plus de volume. Carla parcouru tout le haut de mon corps avec sa langue.
Elle me dévêtit ensuite intégralement avant de retirer à son tour sa robe et ses dessous. Elle était somptueuse ! Des formes éblouissantes !Une peau délicate ! Des seins énormes et fermes ! Une petite chatte soigneusement épilée ! Un cul qui ne demandait qu’à être malaxé ! Mes mains passaient en revue toute la beauté de ce corps tandis que sa langue entamait l’exploration de ma chatte gonflée. Quel délice ! Je gémissais doucement au rythme du passage de la langue de Carla sur mon clitoris.
De son côté, Luc, n’y tenant plus devant un tel spectacle, sortit de son pantalon son membre enflé qu’il commença à branler. Le voir ainsi perdu dans son désir et son plaisir me surexcita. Je jouissais une première fois.
J’allongeais ensuite fermement Carla sur le canapé et enfilais doucement un doigt dans son vagin trempé. Elle cria instantanément. Je redoublais d’ardeur et de rapidité dans mes mouvements de va-et-vient à l’intérieur d’elle.
De temps en temps, j’extrayais mon doigts pour lui caresser avec entrain son clitoris. Ses petits cris rauques m’emplissaient de désir et je me doigtais pour me soulager.
Luc s’était rapprochés de nous et je voyais au dessus de ma tête sa bite raide qu’il branlait avec force. Il s’agenouilla à la hauteur du visage de Carla, lui présentant tout le volume de son membre. Gémissant, elle le prit délicatement dans ses mains et entrepris de le caresser. Elle l’enfourna ensuite dans sa bouche, le lécha et le suça vigoureusement.
Je léchais désormais la chatte brûlante de Carla tout en continuant à me masturber. Je crus alors que Luc allait jouir, car il sortit sa bite de la bouche de Carla et la reprit en main. Mais, il vint derrière moi et me défonça le vagin d’un coup. Il m’assénait des coups violents et rapides. Le corps de Carla se raidit. Elle poussa plusieurs cris intenses. Je la sentis perdre tout contrôle. En même temps, Luc se déversa en moi. Son sperme chaud envahit mon vagin. Quelle extase, les sentir jouir les deux au même moment. Je fus la dernière à jouir, mais pour la seconde fois sous mes subtiles caresses../

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