Allongée dans la chambre plongée dans une pénombre propice à tous les débordements, Géraldine ne se reconnaissait plus dans cette femelle en chaleur, qui, cuisses écartées, se laissait aller à la pulsion de ses sens.

Son amant était arrivé avec une jeune femme qu’elle ne se souvenait pas d’avoir vue avant et il lui avait expliqué que, dans sa progression de petite salope, elle allait connaître les joies du trio.
Certes elle s’y attendait un peu puisque celà avait été évoqué à différentes reprises et que progressivement elle avait son esprit qui avait mis en route son corps.
Christine devait être son initiatrice…
Certes, elle aurait préféré que ce queutard rapplique avec un autre mec…car là elle était cent pour cent d’accord…et elle l’avait même écrit. En plus elle fantasmait assez dessus même…s’imaginant coincée entre deux corps musclés, sentant deux bonnes grosses bites se frotter à elle, lui donner la chair de poule…sentant des mains lui parcourir le corps depuis les pointes de ses nibards jusqu’à sa chatte juteuse et bombée…
Deux bonnes queues pour la faire jouir…ça, c’était dans ses prévisions ; mais une femme…inconnue en plus…et qui la regardait avec un oeil plein de désirs qu’elle sentait salaces et crapuleux.

Gé aurait voulu dire non…mais dans ce cas adieu la belle bite de son salaud d’amant…
Il avait bien joué son coup.
La prenant dans ses bras, par derrière, il avait commencé à lui caresser les seins par dessus son bustier…faisant remonter les globes jusqu’à en faire sortir les pointes par dessus le balconnet, puis il les avaient pincées tout en se collant contre elle, en donnant des coups de ventre en avant, ce qui lui fit sentir une grosse bosse au niveau au niveau de la braguette.
Les yeux fermés Géraldine se laissait aller au plaisir crapuleux de se sentir telle une salope en rut…elle donnait des coups de rein en arrière pour bien sentir cette énorme queue qui la faisait jouir depuis des années. Elle ne s’en lassait pas, de ce pieu de chair. Elle se le faisait mettre chaque fois qu’elle le pouvait, elle le suçait, le mordait, se l’enfonçait dans la bouche, pinçait les couilles, aspirait à fond pour le faire grossir et se gorger de sang…

Elle ne réalisa pas tout de suite qu’une bouche était en train de lui embrasser les cuisses…elle n’avait pas immédiatement senti sa mini se soulever, croyant que c’était son amant qui la tripotait…
Les lèvres qui lui parcouraient la peau semblaient être des papillons…légères, douces, souples, butineuses…picoreuses !
« Oôôôôôôôôh, ouiiiiii », la bouche venait de s’arrêter contre son string en dentelles fines…si fines qu’il ne cachait rien de sa motte bombée de bonne et belle baiseuse. Les lèvres gonflées débordaient autour de la ficelle qui partageait sa chatte en deux et la langue qui la butinait venait de s’arrêter sur le mont de Vénus.
Elle sentait bien qu’elle ne pourrait plus rien stopper…
Son amant continuait de la tripoter à pleine main, la dépoitraillant totalement, lui disant à l’oreille qu’elle allait s’envoyer en l’air…jouir…baiser comme une malade de queue, se faire prendre telle une hétaïre de haut vol et surtout sentir qu’une bouche et des mains de femme étaient parfaitement capables de la faire s’éclater comme jamais elle ne l’avait encore fait.

Avec ses mains Gé avait défait le pantalon de son amant et, tirant sur le slip, avait extrait un membre de fort belle taille. Elle connaissait cette queue à fond, mais à chaque fois elle se sentait prise d’une inextinguible envie de pénétration rien qu’en la touchant.
Là elle se mit à la caresser en se laissant aller au plaisir de sentir son ventre embrassé par une bouche douce comme une plume…une bouche qui tirait sur l’élastique de son string pour le faire glisser…
Cette femme à genoux devant elle savait y faire…Gé ne savait plus où elle en était. Un homme lui donnait sa queue à branler pendant qu’une femme lui investissait progressivement le ventre en le dénudant.
La langue de sa tourmenteuse était arrivée à ses fins et le string gisait au sol. Les lèvres de Christine s’étaient soudées à son sexe et avaient commencé à aspirer la motte bien bombée… (une vraie motte de petite salope qui avait pris de bons coups de queue)…puis, la langue s’était introduite dans la fente pour venir titiller le clitoris à petits coups rapides, le faisant durcir et gonfler avant de le prendre entre ses dents pour le tirer doucement.
Gé ne comprit pas ce qui lui arrivait…elle jouit d’un coup, sans savoir ni comprendre pourquoi…elle ne voulait pas croire que c’est cette femme qui l’avait faite exploser comme ça…en deux coups de langue…
Quelle salope cette Christine !!! Elle savait y faire !!! Et elle continuait…rentrant de nouveau sa bouche dans sa motte, lui écartant les lèvres pour décapuchonner son clito qui avait doublé de volume et vibrait à chaque sollicitation.
Et l’autre, le débaucheur, derrière elle, qui donnait toujours des coups contre sa croupe…il allait bien se décider à l’enfiler maintenant !!! Il lui fallait sentir une queue rentrer dans son ventre ; une bonne grosse bite de salaud comme elle les aime.

« OOOOOôôôôh, ouiiiiiiiiiiiiiiiii », quel salaud…la faire gougnotter c’est bien, mais la posséder ce serait mieux…
Sa main, toujours active sur la bite de son amant, elle se tourna pour lui faire face ce qui amena Christine, dans la position qui était la sienne, à lui lécher les fesses tout en lui introduisant deux doigts dans la chatte en exerçant un mouvement tournant ….
« Aaaaâââââââhhhhhhhhhh ». Un puissant râle de gorge était sorti de la bouche de Géraldine car, en même temps que les doigts de la fille lui investissaient la chatte, elle sentit les mains de son amant lui empoigner la croupe.

Quels salauds ces deux là.
Gé sentait ses pointes de seins frotter contre le torse velu de son amant, ce qui accroissait son excitation.
Sa chatte, remplie avec les doigts de la femelle qui la gougnottait devenait brûlante de désir…sa bouche s’ouvrait et se fermait comme un poisson qui cherche l’air.
Elle se sentait salope à jouir comme ça, entre un mec et une fille…elle voulait plus, plus violent, plus fort…
Dans un souffle elle s’entendit dire : « – de la queue, je veux de la queue, profond, dans ma motte… ».

Et voilà…, maintenant, allongée sur son lit, elle attendait que ce gros membre qui battait contre sa cuisse et qu’elle masturbait avec une joie salace vienne enfin prendre possession de son corps.
Se relevant, JP s’était positionné entre les cuisses pleines et musclées de Géraldine et avec sa main droite avait écarté les lèvres de sa chatte trempée comme jamais. La fille avait immédiatement collé sa bouche dessus pour recommencer à lui aspirer le clitoris, ce qui eut pour effet de la faire crier de plaisir en donnant des coups de ventre en avant, son amant restant agenouillé.
D’un seul coup la queue s’était enfoncée dans sa chatte sans que Christine cesse de sucer…
« Aâââââhhhhhhhhh, salauds, salauds…vous êtes des salauds à me faire tout ça…c’est bon et j’ai honte…ââââââââhhhh, encore, ouiiiiiiiiiii, encoreeeee !!!
JP, tout en souplesse, limait profondément et copieusement, de toute la longueur de son braquemard cette superbe femme en plein rut, cette superbe femelle qui aimait se faire prendre, qui aimait branler et sucer des bite, qui maintenant ne reculait plus devant une bonne partie de jambes en l’air…
Il regardait le va et vient de sa tige de chair qui, à chaque pénétration, venait à la rencontre de la bouche de Christine, laquelle ne se gênait pas pour la lécher au passage.

Géraldine était dans un état second…elle ne se reconnaissait plus…la bacchanale à laquelle elle se livrait la faisait flipper…
Jouissante, elle se sentait jouissante et couinante, gémissant son plaisir de bébé pute qui baise pour la baise…
Christine avait abandonné sa vulve pour remonter lui sucer et mordre les seins tout en les malaxant…pendant que son amant, s’étant penché, avait attrapé sa large croupe de salope de manière à bien la saisir, pour s’enfoncer avec toute la vigueur de ses hanches de baiseur dans ce ventre qui aspirait le manche avec un bruit de suçion des plus salaces et des plus roboratifs.
La tête de Géraldine allait de droite à gauche, ahanant des râles et des cris qu’elle ne pouvait plus retenir…Orgasme pensait-elle, oooooorgasme, ouiiiiiii !!! Les terminaisons nerveuses de son sexe lui envoyaient des décharges électriques dans tout le corps.
Elle voyait, chaque fois qu’elle ouvrait, les yeux le visage de son amant en train de la mater jouissante et pantelante ; elle voyait aussi la tête de Christine qui continuait de bouffer les pointes de ses copieux nibards et qui, en même temps, lui rentrer deux doigts dans sa chatte déjà remplie par le gros sexe noueux de son amant.
AAAAAAAAAââââââââââh quel pied, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, quel pied !!!!!!
Elle ne se reconnaissait plus dans cette femelle échevelée, hurlante, qui jouissait de tous les pores de sa peau.

Les mains crispées sur ses hanches devenaient de plus en plus nerveuses…elle sentait la queue grossir dans sa chatte qui aspirait toute la longueur du membre, comme une bouche…
Les coups de reins allaient crescendo et la force de pénétration démoniaque…il ne l’avait jamais baisée comme ça…
Comme une salope oui…comme une pute aussi…et pas qu’une fois d’ailleurs, ce qui la faisait jouir avec intensité ; qu’il la paye ou qu’il aille à l’hôtel, pour la tirer comme une fille levée dans la rue. Elle adorait ça d’ailleurs…se la jouer pute…ça lui mettait la motte en folie, la tête en émoi et en chaleur…et d’être payée en plus la rendait excitée au point de jouir toute seule en se branlant par la suite.
JP limait comme un malade en lui disant qu’elle était devenue superbement salope, superbement femelle en rut…qu’il était fier d’elle et de son évolution de petite pute !!!
D’un coup il s’enfonça au fond de sa chatte, en même temps que Christine lui mordait un sein en pinçant l’autre…
Gé sentit la salve de sperme lui arriver au fond du ventre par grosses giclées lourdes…elle ouvrit la bouche pour hurler mais aucun son ne pu sortir car la fille était en train de lui rouler un patin d’enfer.
Se retirant rapidement, encore raide, JP se positionna derrière Christine et d’un coup, aussi sauvage que celui qui l’avait faite hurler, lui défonça la motte comme un brutal. La fille eut un genre de souffle de gorge dont elle ressenti l’intensité à la manière dont sa bouche s’activait sur la sienne. Les coups de bite remuaient le trio dans une cadence infernale…En peu de temps JP se remit à rauquer avec sa voix basse de queutard en rut et, de nouveau, elle devina qu’il finissait de décharger le reste de son foutre dans la fille qui, levant la tête, se mit à son tour à hurler son bonheur.

Gé avait l’impression de planer sur un matelas de bulles…elle s’endormit presque aussitôt, tout en sentant que Christine, redescendue vers sa motte bien gonflée se remettait à la téter.
De toute façon Gé aimait ça…qu’on lui mange le ventre…alors un mec ou une fille, maintenant qu’elle y avait goûté…elle allait en reprendre

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