Grâce à mon métier de reporter, j’ai eu l’occasion de rencontrer des gens qui sont difficiles à joindre sans relation et parrainage. Ces gens sont de milieu fort aisé et aiment les divertissements très libertins. Mais ils sont très sélectifs et n’acceptent pas facilement les inconnus.


Ce groupe de libertins organise une fois par mois une rencontre avec un groupe de personnes que nous allons découvrir.
Ce soir-là, la rencontre comprenait une vingtaine de convives, autant d’hommes que de femmes. Les hommes étaient tous dans une tranche d’âge de 30 à 40 ans, grands, athlétiques et vigoureux. Les femmes aussi, toutes grandes, belles, sveltes, certaines avaient sûrement été mannequins de mode.
La maison choisie pour ce rendez-vous était luxueuse et la salle de réception immense. Les plafonds hauts, des lustres illuminaient le décor moderne et des tableaux d’art contemporain très recherchés.
Sur le côté de la pièce une grande table de réception, recouverte de plats somptueux, coquillages, buffet, toasts, boissons, cocktails, fruits et pâtisseries à volonté. Des serveurs en tenue sombre s’activaient, renouvelaient régulièrement les mets colorés.
Les hommes étaient tous vêtus de smoking noirs ou bleu, chemise blanche et nœud papillon. Ils discutaient et plaisantaient en dégustant toasts et gourmandises. Des coupes de champagnes s’entrechoquaient. Mais la tenue de ces messieurs était fort étrange si on se rapprochait d’eux avec un détail d’importance qui signifiait que la soirée était tout sauf ordinaire. En effet le pantalon sur le devant comportait une large ouverture qui permettait au sexe apparaître complètement avec les bourses bien visibles. Quel contraste entre les costumes chics et distingués et l’aperçu viril sans équivoque.
Les femmes circulaient entre les groupes. Toutes étaient vêtues de longues robes du soir de couleur claires, soie, velours, dentelle… Les justaucorps en haut, très décolletés mettaient en valeur des poitrines follement attractives et arrogantes. Les soutien-gorge pigeonnaient, redressaient et montraient plus qu’ils ne cachaient.
Les conditions d’accès au cercle étaient strictes mais bien acceptées. A l’entrée chaque femme devait relever sa robe sur le devant pour prouver à l’assistance que la culotte interdite n’empêcherait pas le libre accès à leur délicieux et si joli entrejambe. Si l’une d’entre elles portait l’article prohibé, elle devait l’ôter dans un délicat ballet de jambes nues en un striptease fort excitant. Seul le string ouvert sur la vulve était toléré, après vérification. Certaines venaient exprès avec un string pour se montrer en spectacle. Le serviteur chargé du contrôle tirait alors délicatement le string vers le bas, dégageait la voie et faisait coulisser la lingerie sans accrocher les escarpins eux aussi obligatoires.
Les femmes saluaient, se promenaient entre les groupes, jaugeaient les sexes mâles présentés à leur regard. Certaines frôlaient le devant des hommes et les embrassant. D’autres s’enhardissaient pour soupeser et comparer. Les plaisanteries lestes et poses lascives s’enchainaient. Les boissons libéraient les quelques inhibitions éventuelles.
Au milieu de la pièce, sur une estrade figurait un ensemble insolite. On pouvait observer deux grandes barres, face à face, fixées à une hauteur d’un mètre trente du sol environ comme une invitation à la dance.
L’usage semblait mystérieux pour un non initié.
La soirée se présentait bien, le mystère et l’érotisme étaient tangibles.
Un homme un peu plus âgé, sans doute le maître de maison se détacha du groupe et frappa des mains.
– Mesdames, assez bavardé, en position sur l’estrade. Vous connaissez les usages…
Aussitôt, dans un bruissement de robes et claquement d’escarpins, les dames en ondulant montèrent sur l’estrade et s’alignèrent régulièrement à côté les unes des autres, six d’un côté, six en face. Puis d’un seul mouvement elles remontèrent leur robe sur leur dos en se penchant en avant. Les croupes se mirent à luire sous l’éclairage puissant. Elles écartaient les jambes, offrant leur vulve dans un saisissant spectacle à l’érotisme provoquant.
Les hommes ressentirent comme un coup de poing dans le ventre. Leurs sexes, pour certains commencèrent à réagir.
Les femmes appuyaient leur ventre sur la première barre et se penchaient pour tenir à bout de bras la barre la plus éloignée.
L’homme âgé s’avança sur l’estrade comme pour contrôler les postures.
– Julie ! écarte plus les jambes. On veut voir entièrement tout ton sexe !
Il passa les doigts le long des lèvres roses en descendant lentement de l’anus vers le bas qui commençait à s’humidifier. Elle broncha légèrement sous la caresse intime. Une petite tape tendre sur la fesse soyeuse.
– Oui, c’est bien, comme ça, tu es superbe ! Ecarte plus, oui, comme ça.
Disciplinée la soubrette, le sexe rose, fente offerte aux regards, les cuisses lisses et tentantes, les jambes en V, fines, tendues et galbées par l’escarpin aux longs talons aiguilles.
– Messieurs, au travail, ces dames attendent votre hommage. Vous devez aller jusqu’au bout pour commencer, la soirée sera longue et vous aurez beaucoup à prouver. Je vérifierai que votre semence soit bien présente.
Les hommes s’alignèrent à leur tour, caressant les croupes en attente, dociles et offertes ; la position de la levrette si érotique s’imposait.
Les couples, face à face s’unirent en s’observant en silence. Les sexes gonflés de désir s’introduisirent facilement entre les lèvres mouillées et vite lubrifiées.
Scène torride de plaisir à venir.
– Messieurs, à mon signal, commencez à besogner, faites votre travail, vous devez jouir, faites durer le plus possible. Mesdames jouissez, profitez, criez si vous le souhaitez. Tout le monde est là pour jouir, je veux des orgasmes, c’est obligatoire. Je vais vérifier.
La salle se mit à bruire, on entendait des claquements de va et vient puissants, des râles, les souffles des hommes s’accéléraient, des soupirs, des gémissements, des cris de plaisir. Certaines femmes lâchaient d’une main la barre, la glissaient sous la robe pour exciter plus fortement leur clitoris en feu. Mais elles devaient se cramponner sous les coups de boutoir fougueux de leurs amants du moment. Les sexes pantelants luisaient, les lèvres roses se gonflaient, les ventres se contractaient, des ondes de plaisir fusaient dans tout le corps comme de délicieux courants. Le sperme coulait à flot en jets puissants. Les femmes avaient l’interdiction de se relever et de rajuster leur robe. Certains hommes avaient réussi à dégrafer les soutiens gorges et pétrissaient en même temps des poitrines voluptueuses. Les femmes se regardaient jouir face à face ce qui rajoutait un côté érotique et lubrique.
Chaque femme devait avoir le vagin rempli et débordant de liquide blanc prouvant l’orgasme bien réel. Le maître de maison se penchait vérifiait, palpait. Les orgasmes féminins aussi étaient comptabilisés par l’intermédiaire de montres bracelet mesurant les pulsations du cœur. Impossible de simuler.
Ensuite les couples furent conviés à quitter l’estrade pour s’ébattre plus librement d’un autre côté de la pièce. Là des fauteuils, canapés, lits, sofas, coussins étaient disposés largement. L’orgie allait pouvoir continuer et se prolonger toute la nuit. Les couples s’enlacèrent de plus belle. Les hommes avaient déposé leurs vêtements. Les femmes avaient l’obligation de garder au moins leur bas noirs et leurs escarpins. Les hommes recevaient la fellation obligatoire, les femmes disciplinées à genoux léchaient et suçaient savamment les verges à nouveau gonflées de désir, flattaient, pétrissaient de la main les bourses si sensibles. Les glands bien découverts rouges, turgescents se dressaient durs et palpitants. Magnifiques sculptures indécentes et offertes. Les hommes grondaient de plaisir. Masturbation mais pas trop, épargnant le sperme pour les intromissions futures.
Certains s’allongèrent et se mirent à lécher à leur tour les sexes féminins dans des cunnilingus endiablés. Les clitoris flambaient, le suc coulait des lèvres gorgées de plaisir. Les spasmes faisaient tordre les corps qui ondulaient. Les caresses avaient raison de toutes les ivresses. Les positions s’enchainaient. Tout était exploré, essayé. Les seins étaient léchés, empoignés, torturés en savantes torsions. Les fesses caressées, les doigts s’égaraient. L’anus était exploré réciproquement pour augmenter le plaisir. Les étreintes en levrette, en émeu, en cuillère, en missionnaire s’enchainaient. Les orgasmes, les cris de plaisir fusaient ; on sentait la volupté et le musc. Chacun recherchait avec une intense application l’extase mutuelle. Une fantastique orgie à l’indécence torride.
Le maître de maison se mit à contrôler les pénis, aucun ne devait rester gonflé, tous devaient être vides.
Les femmes comblées contemplaient les hommes fourbus. Mais il restait encore un spectacle pour clore la soirée. Un homme, choisi par de ces dames devait encore honorer l’une d’entre elles, une dernière fois devant tout le monde.
Un grand brun athlétique fut désigné. Son long sexe avait l’air encore souple et encore impressionnant.
Il avait le droit de choisir sa partenaire. Mais il devait choisir uniquement le vagin sans regarder la figure de sa partenaire. Toutes les femmes remontèrent à nouveau leur robe sur leur visage, seul leur ventre était visible. On leur demanda d’écarter les cuisses pour faciliter le choix. Spectacle somptueux et tellement attractif. L’homme hésita, contempla ces superbes vagins offerts tous délicieux et tentants.


Il porta son choix sur un jeune vagin rose délicieusement orné de lèvres fines.
Les deux partenaires montèrent sur la table désormais vide qui avait servi au repas. La jeune fille s’agenouilla pour stimuler de la bouche le sexe fatigué de son partenaire resté debout. Elle prit les fesses du jeune homme, glissa la main vers l’anus pour l’exciter en appuyant par saccade d’un geste indécent. L’autre main pressait et massait délicatement les testicules. Enfin le sexe commença à durcir. Savante fellation. Sa tête avançait d’avant en arrière. Le pénis disparaissant complètement par moment. Puis elle léchait juste la hampe enfin le gland ou le méat. Sa main tourbillonnait autour du lingam, le pressait comme un fruit, montant, descendant en dégageant le gland puis le reprenant dans la bouche s’arrêtant parfois pour l’observer ou vérifier son œuvre sur le visage de l’homme prisonnier, obligé de jouir. Elle serrait fort puis alternait des caresses presque imperceptibles en un délicieux tourment. L’assistance encourageait. Le sexe fut exhibé triomphant, le gland rouge luisant de salive et d’huile naturelle.
La jeune soubrette bien éduquée, se tourna alors et offrit sa croupe, relevant sa robe en se penchant en avant, jambe bien écartées. Le sexe ne pouvait que trouver sa place dans cet hôtel aux muqueuses veloutées si malléables. Un vagin fait pour le plaisir, confort exceptionnel que de se frotter, se glisser, se masturber à l’intérieur, profondément. Le gland est pressé, absorbé, aspiré dans tous les petits replis humides. L’homme épuisé va trouver la force pour fournir encore quelques gouttes de semence laiteuse. Son souffle s’accélère. Il tient ferment les hanches de sa partenaire. Il voit la taille fine, la courbure des fesses bien bombées si rondes et si fermes. Il caresse d’une main la poitrine dénudée qui oscille dans un va et vient ballottant. Il rattrape les cheveux blonds, les bascule d’un côté pour observer le visage qui se crispe de plaisir. La jeune fille entrouvre la bouche, cherche aussi son souffle et entre en cadence suivant les coups de boutoir. Cela va encore durer car l’homme a eu déjà de nombreux orgasmes. Le plaisir monte graduellement. Mais il faut du temps pour que l’excitation déclenche le réflexe. Les spectateurs contemplent avec envie le jeune couple. Chacun peut mesurer l’intensité du plaisir qui s’accentue. Une femme donne un verre d’eau aux deux partenaires en train de chercher la jouissance. Une autre empoigne les testicules et tire en cadence sur les bourses qui s’agitent mollement. Une autre caresse la poitrine qui s’agite joliment. Elle pince doucement la pointe des tétons pour exciter encore ce qui peut l’être. Tout le monde participe à la recherche de la jouissance, on est là pour ça. Il faut jouir et rejouir. C’est un devoir ce soir. Je travaille pour jouir, je baise.
L’homme sent que l’orgasme va bientôt arriver. Il le fait savoir à sa partenaire qui en profite pour glisser sa main vers son clitoris. Elle va maintenant chercher à synchroniser son plaisir avec son partenaire pour arriver à l’extase en même temps. Cela nécessite une maîtrise parfaite des sensations et le contrôle de la montée de l’orgasme. Elle sent le sexe de l’homme qui se gonfle de plus en plus, qui frémit, qui palpite en elle ; elle sait que c’est l’affaire de quelques secondes. Elle presse son clito, agite sa pression de manière frénétique, elle retient sa respiration puis la relâche. Elle aussi sent que les ondes de plaisir montent, se rapprochent, se font plus insistantes. Il faut qu’elle parvienne à être en phase avec son baiseur, elle veut être baisée dans un seul et même orgasme surpuissant, c’est une question de point d’honneur. L’homme s’ébroue, pousse un râle de douleur et d’extase mêlés puis la jeune fille hurle profondément, longuement, femme primitive comme si elle était seule au monde pour exacerber sa jouissance dans un lâcher prise total.


Les deux partenaires se relèvent, s’embrassent pleinement sur la bouche dans un long remerciement réciproque. La jeune fille attrape le sexe de son mâle, l’exhibe à l’assistance qui applaudit la performance. On peut voir sa superbe poitrine nue où perlent des gouttes de sueur. L’homme relève à son tour la robe, l’assistance applaudit longuement le sexe rose de cette prêtresse de l’amour, indécente et si belle. Elle écarte les cuisses, lève une jambe, entrouvre les lèvres de son vagin ou suintent les gouttes du lait de la vie. La salle est en feu, au comble du ravissement.
Des flashs clignotent pour éterniser la scène.

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