Je m’appelle Martine, j’ai autour de quarante cinq ans, je suis divorcée et j’ai eu deux enfants avec deux maris différents. Je mesure 1.60 cm, je suis brune cheveux mi-long ondulés, un bon et copieux 90C et une croupe ronde et ferme. Comme le disent beaucoup d’hommes, j’ai du « charme ».
Il y a quelques semaines, pendant que mes enfants étaient chez leurs cons de pères sur le continent, j’ai décidé de sortir. Je me suis donc rendue dans une boite à une cinquantaine de kilomètres de chez moi. Dans la soirée, j’ai été sollicitée et chauffée par un certain nombre d’hommes. Vers trois heures du matin, je me suis décidée à rentrer sans avoir trouvé de quoi satisfaire ma libido de femelle en chaleur. En sortant, deux jeunes me demandèrent si je pouvais les déposer. Ils devaient avoir 18 ou 20 ans. Nous roulions depuis dix minutes quand l’un des deux posa sa main sur ma cuisse et commença à me caresser.
« Tu es gentil, mais tu enlèves ta main s’il te plait ».
« Tu es jolie…et il n’y a pas de mal à se faire du bien ».
Il retira sa main mais recommença rapidement. Après tout, cela lui faisait plaisir et moi ça ne me dérangeait pas. Mais très vite sa main passa sous ma jupe à la recherche de mon sexe.

« Sois mignon enlève ta main », « nous allons avoir un accident…».
Alors que je lui disais ça, sans que ce soit conscient et réfléchi j’écartais les cuisses autant que ma mini jupe le permettait. Je sentis ses doigts effleurer mon string au niveau de la motte. Une bouffée de chaleur m’envahie, je sentais ma chatte mouiller, je n’avais brusquement qu’une envie : me faire baiser.
Il l’a bien senti car la pression de ses doigts sur ma vulve se fait plus intense. Je lâche même un : « huuuuuum », tellement c’est bon. Maintenant il a comprit, ses doigts écartent la ficelle et titillent mon clito. N’y pouvant plus, j’aperçois un petit chemin dans la forêt, je m’y engage. C’est à ce moment que le deuxième se manifeste en attrapant mes seins. Il écarte ma veste et déboutonne mon chemisier. Je me gare dans une clairière. La main du premier a maintenant remonté ma jupe et descendu ce rempart fragile qui dissimulait à peine mon sexe. Tout en m’embrassant, ses doigts fouillent ma chatte. Le deuxième a libéré mes gros seins et les malaxe en pinçant mes tétons. Sans avoir été pénétrée, je jouis déjà. Nous sortons tous les trois, je suis comme une chienne qui veut du sexe, je me déshabille. Je suis en bas auto fixant, la mini relevée, dépoitraillée dans la forêt et me jette littéralement sur la braguette de mes jeunes amants pour en extraire deux gros sexes, durs et tendus. Je commence à les sucer frénétiquement, chacun leur tour et parfois les deux en même temps.

Ma bouche virevolte d’une bite à l’autre, pendant que mes mains branlent les hampes tendues. Je les entends parler entre eux :
– tu as vu la salope comment elle nous pompe.
– et bien ma garce…tu dois aimer la bite.
Tout en en gardant un dans la bouche, je m’allonge et écarte les cuisses, montrant ma chatte inondée. L’un s’agenouille et me pogne la motte avant d’appuyer son gland pour le faire doucement pénétrer, puis, une fois enfoncé, me prendre avec de violents coups de bite.
Il rentre puissamment toute la longueur de son sexe et vient buter mon utérus…je suis à la fête…
– Hoôôôôôoooo, ouiiiiiiiiiiiiiii c’est boooooon.
– Ho la salope elle en veut…
Tout en se faisant sucer, l’un attrapa mes gros nibards par les pointes et les malaxa.
– Tu as vu les nichons de pute qu’elle a ?
– Ouaiiiii, elle a dû en branler des bites en les mettant au milieu.
Ils me firent mettre à quatre pattes et changèrent de place. Les violents coups de reins, que me donne l’un, empalent ma bouche sur la queue de l’autre. Les mains de celui que je suce attrapent ma tête et accompagnent mon mouvement sur sa bite turgide.
– Tu as vu le cul qu’elle a, cette salope ?
– Prends le…défonce lui…attrape sa croupe à deux mains…
Je voulu protester mais ses mains maintinrent mon visage sur sa bite. Sans égard l’autre appuya son gland sur mon anus et m’encula, poussant toute la masse de son membre au fond de mon ventre. Je hurlais…de jouissance. Puis ils changèrent de place ; celui qui vint dans ma bouche ne mit pas longtemps pour tout cracher dans ma gorge, se vidant à longs jets de foutre. L’autre s’excitait dans mon cul, cramponné à mes hanches larges de femelle en rut.

Bientôt il se retira et il jouit sur mes fesses. Ils étaient tous les deux debout, me regardant, discutant sur le fait que : « j’étais bonne », « salope extra », « bourge pute », « une vraie femelle qui aime les bites ». Je me levais, j’avais du sperme plein le visage et sur les fesses. Mes bas étaient abîmés au genoux ; quelle triste image je devais donner de moi. Je pris plusieurs mouchoirs pour m’essuyer.
– Viens làaaaaaaaaaaaa, ma jolie.
L’un me saisit et me posa sur le capot. Je sentais la chaleur du moteur dans mon dos et sur mes fesses. Il s’approcha de moi, écarta mes cuisses et prenant son sexe en main l’appuya contre ma vulve gonflée pour s’enfoncer d’un coup long et interminable. Il recommença à pénétrer ma chatte avec une énergie contagieuse. Il me baisa comme ça, brutalement, comme un soudard, sur le capot de ma voiture, dans la position de la salope qui se fait tirer uniquement pour sentir un membre lui bourrer la vulve. Puis, sortant sa queue, il procéda à quelques mouvements de poignet et jouit sur mon ventre à longs jets de sperme gras et lourds. Moi, je prenais un pied monstre. Puis, l’autre fit de même, il me re pénétra, toujours allongée sur le dos, sur ma voiture, me tenant par les chevilles, pendant que l’autre me bouffait les pointes des nibards. Je jouis encore une fois et lui aussi déchargea copieusement son foutre sur mon ventre.

Pendant quelques secondes, je restais allongée, étalant leurs spermes sur mon corps, malaxant mes seins. Puis nous nous sommes rhabillés et nous sommes rentrés. Je les déposais, ils m’embrassèrent tous les deux, touchant mon corps une dernière fois, puis disparurent. En rentrant, je pris une douche, j’avais bien conscience de m’être comportée comme une vraie salope en chaleur, limite pute, mais j’avais pris un super pied. Depuis ce jour, chaque week-end où je suis seule je sors (assez loin de chez moi.)

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