Arrivé en janvier 2015, c’est au printemps que je fis connaissance avec ma nouvelle voisine, lorsque les beaux jours arrivent et que nous étions souvent dans le jardin.
Juste une petite grille sépare nos terrains respectifs. Un jour je faisais le tour de ma pelouse elle est sortie de chez elle, nous nous saluons d’un « bonjour » réciproque rien de plus.
Elle faisait le tour de son petit coin de jardin tout près de moi qui nettoyait ma pelouse
– Vous allez tondre me dit-elle ?
– Non c’est trop tôt, je regarde seulement si il n’y a pas trop de cailloux
– Vous avez l’air de vous y connaître en jardin
– Oui c’est mon métier
– Alors moi j’y connais rien, nous vivions en appart avant, j’aurai certainement besoin de conseils dit-elle avec son joli sourire

Elle portait un pantalon qui mettait en valeur des fesses imposantes, mais agréable à regarder, un pull qui laissait présager une poitrine généreuse. J’étais troublé, hâte d’être à l’été pour en voire un peu plus.
Nous avons rapidement discuté, elle me dit que Seb (son mari) est routier et elle nounou. Après quelques minutes nous nous sommes quittés
Durant les semaines suivantes je continuais à l’observer la trouvant de plus en plus attirante, elle portait souvent des pantalons qui lui moulait bien les fesses et mettait ses formes en valeur.

Il faut dire que ces derniers mois ma vie sexuelle était plutôt plate et triste. Depuis une séparation il y a 18 mois je n’ai eu que quelques petites histoire d’un soir mais celai faisait maintenant 2 mois que je n’avais pas goûté au corps d’une femme. Grand fêtard et séducteur étant plus jeune, je me surprenais à passer certaines soirée à lire des histoires erotiques coquine afin de me masturber au lieux de sortir. Et assurément cette voisine me donnait envie de me reprendre en main.

J’aimais aller au contact lorsqu’elle était dans son jardin, je sortais pour discuter et la regarder.
Une après-midi, je la vois depuis ma fenêtre de cuisine, dans son jardin, en train de tailler des Forsythias, avec un sécateur qui n’avait pas l’air de couper grand-chose.
Je décide de descendre et d’entamer la conversation, et de lui proposer du matériel un peu plus adéquat, ce qu’elle acceptât immédiatement.

Je reviens de suite avec une cisaille, elle m’invita à boire en café disant qu’elle reprendrait son travail plus tard. Pendant qu’elle préparait le café, je m’approche derrière elle et pose ma main sur son épaule puis lui caresse le bras. Je sentis en elle de la gêne. Je recommence, puis passe le bras autour de sa taille et lui dépose un baisé dans le cou, elle soupire, je sens l’excitation monter en elle. Non je suis mariée dit-elle sans pour autant me repousser, je place alors chacune de mes mains sur ses seins et la pelote, sa respiration s’accélère. Elle se retourne face à moi et nous nous embrassons à pleine bouche. Nos langues s’entremêlent, mes mains glissent le long de son dos jusqu’à ses fesses que je caresse.

Je lui retire son pull et l’embrasse dans le cou, tourne toi lui dis-je, ce qu’elle fait sans discuter, je dégrafe alors son soutient gorge qui glisse et tombe sur le sol, me laissant apercevoir des gros seins pulpeux que je pris à pleines mains pour les caresser, les malaxer, les embrasser.

Ensuite je lui caresse le ventre d’une main assuré que je décent jusque son pantalon et y entre la main directement dans sa culotte, je sens son sexe doux mais déjà bien humide, elle frémit.
Avec ma main je la branle, mes doigts sont très humides. Vient me dit-elle en m’entraînant dans le salon puis s’assoie sur le canapé, les cuisses grandes ouverte.
Je m’agenouille à ses pieds, engage ma tête entre ses cuisses que j’embrasse en remontant jusqu’à son vagin, poilu que je lèche. Il est si humide hum c’est bon, elle pousse de petits gémissements, je la regarde, elle me dit, vas y prend moi !

Je retire mon pantalon et mon slip mon sexe était bien raide, je mets un préservatif, elle écarte grand les jambes, je frotte son sexe avec mon gland avant de l’introduire dans son vagin en entier

Elle poussa un fort gémissement à l’introduction de mon gland dans son sexe trempé. S’en suit des va-et-vient, des gémissements, des petits coups de riens de plus en plus plus vifs.
Je vais jouir dis-je, elle aussi jouissait !

– Quelle heure est-il ?
– 16H, vite il faut que je récupère mon gamin bientôt, nous nous sommes rhabillé, puis elle me dit : « sauve toi » en m’embrassant.

– Donnes-moi un papier et un stylo !
Ce qu’elle fait de suite, je note mon tel et lui tend le papier avec un sourire et un baisé avant de disparaître.

Le soir vers 20h, mon téléphone vibre : « coucou mon mari vient de rentré, bisous, Ta voisine !! »

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