Je devais faire une étude sur un auteur particulièrement apprécié par les romantiques, Lamartine.

Il me fallait des textes de référence et je décidais de fréquenter la bibliothèque assidûment jusqu’au terme de mes travaux. J’avais une chance dont j’étais parfaitement consciente, par le fait que cette bibliothèque était ouverte jusqu’à 2 heures du matin tous les jours !

En fait je n’allais à la bibliothèque qu’après le dîner, pour que je sois plus tranquille en dehors du coup de feu de tous les étudiants ou les lycéens, souvent plus turbulents. Je m’y suis fait prendre les deux premières fois, me faisant même chahuter dans un tel lieu magique où il devrait régner silence et concentration. C’est l’été et se balader en minijupe paraît un outrage, où va se nicher la liberté des femmes ?

Bref ce soir là, il faisait si chaud, que je suis allée à la bibliothèque sans me préoccuper des risques de refroidissement que je pourrais subir au milieu de nuit, lorsqu’il me faudrait rentrer . Il a fait si chaud cette journée que la nuit ne sera pas assez fraîche pour m’inquiéter !

J’étais assise depuis une trentaine de minutes, j’étais absorbée par mes lectures, quand soudain une fille, étudiante je pense, vint s’asseoir sur la même table que moi, dans ma rangée.

Je commençais par me dire que ce devait être une « emmerdeuse » Autant de place à cette heure et il fallait que cela tombe sur moi ! Ne pouvait-elle pas s’installer sur une autre rangée que la mienne. Arrêtes me dis-je, d’être aussi intolérante !

Absorbée par mes découvertes sur cet auteur que j’aimais tant, je ne pouvais m’empêcher de lancer quelques coups d’œil vers ma nouvelle arrivante, il faut dire qu’elle était attirante, et me sentant observée moi-même, je ne pouvais me résoudre à l’idée de ne pas en connaître la raison.

Elle n’était pas d’une beauté à couper le souffle mais dégageait un charme qui enivrait, et je me plus à m’enivrer moi-même ! Visiblement je devais avoir quelque chose sur moi qui l’intriguait, sinon pourquoi m’aurait-elle observée ainsi en cachette. Elle devait être nouvelle dans cette bibliothèque, car elle n’avait pas remarqué que par le jeu de glaces on pouvait surveiller les observateurs indiscrets.

Mais je me rendis vite compte, qu’elle savait s’adapter aux lieux et aux ambiances. Nos regards commencèrent à se croiser régulièrement dans ces glaces qui me renvoyaient son image et cela n’était pas sans me troubler. Ce fut comme une détonation, un coup de canon, était-ce cela que l’on appelait le coup de foudre, je m’aperçus qu’elle me plaisait terriblement et j’avais un vague impression que je ne lui étais pas indifférente non plus !

A présent je me surprenais à lui montrer mes jambes, j’étais excitée à l’idée de m’exhiber à son regard inquisiteur qui se faisait nettement plus pressant.. Elle devait être plus jeune que moi mais affichait une telle force et une telle sérénité dans le visage que j’en étais impressionnée ! Enfin je ne pouvais plus douter, le regard se portant sur mes cuisses souvent écartées juste pour elle, était en train de lui faire chavirer l’esprit.

Dois-je vous parler du mien ? Une brûlure sauvage commençait à envahir mon ventre, je me surprenais à avoir une envie d’elle comme jamais encore je n’avais connue. Nous ne pouvions en rester aux regards, mais je sentais bien que si je ne prenais pas l’initiative, elle ne la prendrait pas, peut-être par timidité, peut-être par pudeur. Je m’approchais d’elle, telle une féline sans faire un bruit dans cet antre du silence, là où elle se trouvait, au calme de cette salle, plus isolée que l’était ma place initiale. Peut-être c’était la lumière douce amère que diffusait l’ampoule de ce lustre de lecture un peu bas qui était éloigné de notre place. C’était magique. Sans un mot je venais me coller à son corps afin que nos mains se frôlent, que nos cuisses frémissent dans ce contact charnel. Ses doigts caressaient les flancs de mes bras nus, descendaient le long de mon poignet, puis venaient se fondre sur l’extrémité de mes doigts. Quel délice, elle m’électrisait.

Elle était vêtue d’une salopette en Jean large, avec de grandes ouvertures sur les hanches, un léger tee-shirt noir faisait saillir une poitrine que je sentais ferme et tendue, je sentais son souffle s’accélérer au fur et à mesure que ma cuisse se lovait contre la sienne. Elle laissa tomber son bras sous la table, discrètement, pour venir poser sa paume si douce sur le dessus de ma cuisse largement découverte. Les hautes tables vertes massives de bibliothèque étaient nos parfaits alibis pour ces ébats volés, ces caresses furtives, ces moments de tendresse. Pas un mot n’était sorti de nos bouches qui n’avaient qu’une envie, se fondre l’une à l’autre. Je frémis langoureusement lorsque je sentis ses doigts s’immiscer sous ma jupe d’été et courir le long de l’aine, j’écartais le plus possible mes cuisses, afin de lui offrir toute la cyprine qui s’écoulait de mon sexe trempé.

Son doigt plus inquisiteur à présent se frayait un chemin à la lisière de ma petite culotte de coton blanc, maintenant l’intérieur de son index effleurait mes lèvres qu’elle découvrait trempées de bonheur. Ce grand explorateur avait décidé de venir fouiller ma grotte d’amour, que je lui abandonnais volontiers. Les autres doigts étaient venus rejoindre l’index, et c’est son pouce qui s’attaqua en premier à mon bouton d’or qui s’érigeait de plaisir. Elle titillait cette partie de mon corps entre son index et son pouce et elle sentait que j’étais en train de défaillir, j’avais oublié Lamartine et ce pourquoi j’étais venue. Elle paraissait absorbée par sa lecture et ne me lançait quelques regards furtifs de temps en temps pour surveiller mon émoi qui aurait pu trahir nos activités secrètes. De temps en temps je jetais un œil par dessus son épaule pour vérifier que personne ne nous regardait, les glaces nous y aidaient bien, la pénombre également.

Je décidais de me tourner légèrement vers elle afin de lui offrir plus encore ce vagin complètement trempé par ses caresses époustouflantes que je n’avais jamais encore connues avec cette intensité. Elle comprit bien mon initiative et doucement se laissa glisser sous cette grande table d’où personne ne pourrait la voir, allais-je tenir le coup sans crier de bonheur comme j’en avais envie ?. Je sentis ses mains baisser ma culotte, je l’aidais en soulevant mes fesses pour que celle-ci puisse plus aisément tomber à mes chevilles. Puis je découvris une chaleur moite et humide sur mes lèvres et sur mon clitoris, c’était sa langue qui venait jouer avec mon plaisir.

Elle aspirait à présent mon bouton érigé, qui bandait sous les passages de sa langue, je souhaitais que ce moment ne s’arrête jamais, c’est à cet instant que je ressentis une violente réaction au creux de mes reins, mon premier orgasme était en train de monter en moi, il allait falloir que je puisse l’assumer sans un cri ! Etait-ce possible, je devais m’y contraindre si je voulais faire perdurer ce moment intense, cette jouissance au dessus de toute imagination.

Sa main se fit plus violente et deux doigts pénétraient mon sexe au plus profond de mes entrailles, elle touchait presque mon utérus qui durcissait, un de ses doigts s’orientait vers mon fruit défendu que je lui offrais sans retenue en me soulevant légèrement jusqu’à m’asseoir sur le bord du banc. Je pinçais mes lèvres fort pour ne pas hurler durant cet orgasme et je me surpris à être encore lucide à surveiller sans cesse pour vérifier que personne ne nous observait. Maintenant son index et son majeur étaient en train de me branler frénétiquement et venaient m’arracher un deuxième orgasme long, majestueux, étonnant et merveilleux. Pendant ce temps son pouce avait trouvé le chemin de mon petit trou et la phalange remuait à l’intérieur de mon anus que je sentais se dilater à ses caresses magiques. Sa langue et la paume de sa main encore libre flattaient avec sensibilité l’intérieur de ma jambe de la cheville au genou puis de la cuisse à l’aine, cela me rendait folle, j’avais envie de frotter ce sexe contre le sien, j’avais envie de la lécher, de l’aspirer, de luis happer les pointes de ses seins que je sentais trahir le fin tee-shirt qu’elle portait. Je lui demandais de cesser, je ne savais pas en effet si je serais capable d’assumer ce troisième orgasme qui montait en moi encore plus intense que les précédents.

J’avais chaud et ne savais si je pourrais rester insensible à de telles sensations longtemps, c’est pourquoi je lui proposais de nous isoler dans un endroit qui respecterait notre intimité. Dans ces moments là la réflexion ne vous est pas d’un grand secours, et c’est donc sans réfléchir que je lui proposais de continuer nos attouchements dans les toilettes de la bibliothèque. Elle avait tellement envie que l’endroit sinistre que je lui proposais ne lui créa pas non plus de problème de conscience.

Je me levais en premier et me dirigeais vers les toilettes des femmes où elle devait me rejoindre d’ici deux à trois minutes.

Personne, il n’y avait personne dans ces toilettes et je m’en réjouis d’avance, cela allait faciliter notre rendez-vous. Je décidais de l’attendre dans les toilettes du fond, celles réservées aux handicapés, parce que nous nous y trouverions plus d’aises, elles étaient en effet bien plus grandes que les autres. A peine avais-je fini mon inspection de propreté, que la porte du hall des toilettes s’ouvrit sur ma tendre partenaire qui se tenait dans l’encadrement de la porte, l’œil brillant de désir.

Vite nous nous engouffrâmes dans cette pièce où nous allions enfin prendre notre plaisir tant attendu. Fort de cette intimité enfin retrouvée, je décidais de prendre les opérations en main, j’ôtais les bretelles de sa salopette et retirais le tee-shirt noir laissant apparaître deux superbes seins qui effectivement se tenaient sans besoin de soutien aussi beau soit-il.. Ma bouche se fondit à la sienne et nous pouvions enfin partager un baiser où je sentis sa langue fouiller la mienne avec une intensité d’une telle beauté que mon envie d’elle fut encore décuplée… Je laissais tomber sa salopette sur ses chevilles, la largeur de celle-ci m’y aida facilement, et découvris deux cuisses fuselées à souhait, magnifiques, je sentis le pubis et les lèvres humidifier cette petite culotte noire en coton, vite je baissais celle ci afin de découvrir avec ma langue le goût sucré de ce sexe qui n’avait envie que de se faire avaler ma bouche inquisitrice.

Ma langue à présent fouillait ce sexe offert, et je sentais ses fesses sous la pression de mes mains se durcir d’envie, elle avait posé une de ses jambes sur le rebord des toilettes, pour m’offrir cet orifice encore plus écarté et faciliter ainsi son plaisir que je lui donnais avec ma bouche. J’avais le menton trempé par son nectar qui coulait abondamment le long de mon visage, et je sentais son petit bouton tout durci de désir bander au fur et à mesure que le titillais avec la langue savamment experte.

Elle se raidissait et je sentais son plaisir monter, son souffle devenait court, ses yeux se révulsaient et à présent elle écrasait son sexe trempé contre mon visage à m’en couper le souffle, je mouillais abondamment également et d’une main libre je me donnais du plaisir pour que je ne sois pas en reste. J’étais toujours en jupe mais n’avais pas remis ma culotte qu’elle m’avait retiré sous cette table où je pris mes premiers orgasmes, j’avais remonté cette jupe jusqu’aux hanches pour être plus à mon aise afin de prendre mon plaisir sans retenue… J’étais accroupie devant elle qui se tenait debout appuyée contre le mur, elle décida d’immiscer son pied vers mon sexe qui lui était offert, complètement offert vu l’écartement de mes cuisses provoqué par la position que j’avais adoptée. Je sentis son gros orteil pénétrer entre mes grosses lèvres et cette caresse m’électrisait complètement. Elle devait sentir comme j’étais trempée, son pied à présent se faisait plus pressant contre mon sexe, j’aurais été capable d’avaler son pied entier tant le plaisir qu’elle me provoquait était grand !

J’avais fait un choix judicieux en investissant ces toilettes plus grandes que les autres, ceci nous permit de nous allonger toutes deux afin de nous lécher le sexe chacune dans une superbe pose de « 69 » comme on l’appelle habituellement.. Le carrelage était froid sous mes fesses ainsi mises à nu, mais c’était secondaire, trop occupée à aspirer son clitoris dans ma bouche qui jouait avec celui-ci, je le sentais s’enfler au gré de mes caresses buccales. Je sentais sa bouche s’occuper de mon sexe et ses doigts pénétrer mon anus avec son majeur et son index, je soulevais mon bassin afin de lui en faciliter l’entrée et mon plaisir. Je serrais sa tête entre mes cuisses pour être sûre qu’elle n’arrête pas sa caresse qui était en train de faire monter mon plaisir et ma jouissance à une telle intensité que je n’avais jamais encore connue.

Je fis la même chose et entrais mes doigts dans son trou défendu qu’elle m’offrait juste au-dessus de son visage, pendant que ma langue léchait ce sillon tout humide du bas de son sexe tout près de ce trou que j’étais en train de fouiller, jusqu’au clitoris dur et tendu. Mes doigts s’enfonçaient profondément presque à lui faire mal, mais apparemment, c’est du bien que je lui faisais à entendre ses gémissement étouffés qui rythmaient ses spasmes de bonheur, elle jouissait, elle jouissait fort et je sentais que j’allais monter aussi, pour la rejoindre dans cet orgasme que nous attendions tant depuis près d’une heure.

Nos corps se détendirent enfin, mais nous restions là alanguies par tant de bonheur, nous continuions à nous donner de légères caresses de tendresses, à nous embrasser, à nous lécher les seins , nous étions si bien, l’une contre l’autre. C’est à ce moment que je commençais à m’enquérir de savoir ce qu’elle avait fait de ma culotte qu’elle m’avait si prestement retirée sous la table dans la salle de lecture ; Un sourire s’installa sur ses lèvres et elle dit dans un rire étouffé qu’elle l’avait oubliée sous la table justement. Nos seins secoués par notre four rire étaient collés les uns contre les autres et il ne m’aurait pas fallu beaucoup de temps pour repartir dans un orgasme si soudain un bruit de porte et de pas ne venaient nous réveiller de notre torpeur où nous étions installées après ces instants de bonheur.

Sans un mot, nos bouches collées l’une contre l’autre, nous entendions notre voisine fermer le loquet de sa porte des toilettes adjacentes et peu après nous entendîmes le jet d’urine dans l’eau de la cuvette où nous imaginions ses fesses installées sur la lunette.

Dès que nous entendîmes le bruit du rouleau de papier que l’on déroule, de la chasse d’eau, des frôlements de vêtements que l’on rajuste, du robinet et de l’eau qui se mélange au savon pour laver les mains et enfin de la porte du hall qui se referme, nous décidâmes de nous rhabiller également afin de réapparaître dans une tenue correcte en salle de lecture. Moi j’avais encore une mission, récupérer ma culotte qui devait se trouver sous la table. Si la bibliothécaire avait remarqué notre absence, elle allait nous disputer, nous n’avions pas rendu les livres que nous avions empruntés et cela faisait presqu’une heure que nous étions absentes, j’eus soudain une boule d’angoisse au fond de ma gorge, même si Sophie, car elle s’appelait Sophie, essayait de me rassurer.

Je ne vis pas de suite la bibliothécaire à sa place, il était tard et plus personne n’occupait les tables de lecture, lorsque mon regard qui se dirigeait en direction de la table que nous occupions afin de vérifier que ma culotte se trouvait toujours sous la table, je la vis enfin, assise là, à la place que j’occupais, ma culotte à la main en train de nous guetter du regard. Je m’approchais, la gorge nouée, en bredouillant des mots inaudibles. La jeune femme au visage dur me toisa d’un regard peu enclin à l’amitié et me dit sèchement :
 » – J’ai vu votre manège depuis tout à l’heure avant même que vous n’alliez aux toilettes, je vous rappelle qu’il s’agit d’une salle de lecture et non pas d’un salon de massage !  »

Je ne trouvais pas les mots, j’étais morte de honte, je baissais la tête, je l’observais en train de me sermonner, elle n’était pas mal cette jeune femme un peu austère avec son chemisier col  » Claudine  » et sa longue jupe noire, était-ce l’uniforme qu’elle était assignée à porter et qui lui donnait un air si  » catholique traditionaliste « , dommage, parce que si ses cheveux qui étaient ramenés sur la tête en chignon assez mémère, avaient été laissés libres et tombants sur les épaules, si les lunettes demi-lunes étaient un peu moins ringardes, si ses vêtements avaient étés un peu plus affriolants, elle n’aurait pas été mal notre bibliothécaire agressive et non tolérante !

Je ne me souvenais pas grand chose de son sermon, mais les derniers mots me marquèrent particulièrement :
 » – .Vous serez interdites de bibliothèque, j’aviserai le directeur de votre attitude intolérable pour des étudiantes et en ses lieux, votre réputation va en prendre un sérieux coup, croyez moi !
Je ne donne pas cher de votre peau, peut être direz vous adieu à vos chères études, vous devrez vous expliquer et vous justifier auprès de vos parents qui avaient certainement fondé tous les espoirs en vous.. »

Je me mis à sangloter, je voyais ma vie basculer, ce devait être un cauchemar, je ne pourrais plus affronter le regard de mon père et de ma famille, de mes amies des autres, elle ne pouvait pas faire cela, quand même. Sophie était figée, dans une attitude que j’admirais, comment faisait-elle pour rester ainsi impassible ? Puis le coup de grâce tomba enfin :
 » – A moins que pour acheter mon silence et que vous puissiez continuer à vaquer à votre vie étudiante, continuer en toute sérénité à passer vos examens, vous ne m’accordiez une faveur, je vous laisse donc le choix et ne veux vous forcer à rien… Je ferme la bibliothèque, vous me suivez chez moi et vous devrez me donner toutes deux une nuit de plaisir comme vous vous en êtes données toutes deux tout à l’heure. Ne niez pas, j’ai pu vous observer sur mon écran de contrôle, et oui que voulez vous nous sommes obligés de vérifier que nos étudiants ne se livrent à aucun trafic de drogue, ni de lieu de consommation dans les toilettes comme se fut le cas il y a encore peu. »

Nous nous regardâmes Sophie et moi, complètement ébahies, il ne nous restait guère de choix ! Nous décidâmes d’acquiescer ensemble à cette proposition qui après tout, n’était pas si terrible au vu de tout ce qui nous attendait si nous refusions. Puis Sophie serait avec moi, la bibliothécaire n’était pas non plus un thon, peut-être nue, était elle moins austère ?

Elle me rendit donc ma culotte que je me hâtais de renfiler et nous la suivîmes jusqu’à son domicile après qu’elle eût fermé et quitté son lieu de travail. Mais là il s’agit d’une autre histoire, qui laissa dans ma vie un souvenir intarissable, je vous la conterais peut-être un jour, si celle-ci vous a plu, allez savoir…

Nathalie !

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