Je m’appelle Prince, je suis un jeune soldat italien affecté en Suisse chez les conducteurs de bateaux. Rien de bien passionnant et rien à faire de mes journées, si ce n’est se faire crier dessus en une langue incompréhensible et porter tout un tas d’objets inutiles. Bref, quatre mois à passer entre hommes sur la terre ferme et sur l’eau et durant lesquels les seules courbes qu’on peut apprécier sont celles de notre supérieur qui prend plaisir à se balader torse nu. Autant dire que la libido en prend un sacré coup !

Un beau jour pourtant, miracle ! Deux instructeurs militaires viennent sur le bateau pour nous « assister ». Rien de bien particulier si ce n’est que les instructeurs en question sont des femmes ! De beaux mélanges de races allemande et suisse que leur blondeur et leur taille trahissaient. Leur uniforme laisse transparaître leurs seins généreux et le bout de leur téton pointant à travers le tissu laisse présager qu’elles ne portent pas de haut sous leur combinaison. Leur uniforme militaire était serré d’une telle manière que l’imagination ne pouvait que s’activer libidineusement à leur vue. Peut-être était-ce dû au fait que ces deux blondes étaient les seules présences féminines sur ce pont depuis plusieurs semaines.

Dès les premiers jours, j’avais l’impression que ces nouveaux instructeurs me taquinaient en me lançant des regards vicieux et en me lançant des piques cochonnes. Peut-être était-ce mon imagination et le fait que je ne comprenais rien de leur langue ? Dans tous les cas, j’avais l’impression qu’elles attendaient quelque chose.

Un beau jour où j’étais affecté dans la soute, l’une d’elle vint me rejoindre prétextant un suivi de mes activités, du moins c’est ce que j’ai cru comprendre tant leur langue m’était toujours inconnue. Là, je remarquais que le regard vicieux était une nouvelle fois dans ses yeux et qu’elle me souriait. À peine allais-je lui demander ce qu’il fallait que je fasse qu’elle m’embrassa, violant carrément ma bouche et serrant sa poitrine contre mon torse. Je pouvais distinctement percevoir le bout de ses tétons gonflés contre moi. Une de ses mains m’empoignait la nuque tandis qu’une autre s’activait vigoureusement sur ma braguette. Elle prit mon pénis entre ses doigts et effectuait de lents gestes de va-et-vient à travers mon pantalon.

Je lui saisis ses fesses que je sentais bien rondes et visiblement sans rien sous la combinaison. Je pris l’initiative de lui retirer le haut de son uniforme mais elle avait visiblement autre chose en tête. Elle ôta ma ceinture, baissa mon pantalon et continua à me masser de ses doigts experts tout en continuant à plonger sa langue dans ma bouche. Ses va-et-vient sur mon pénis m’excitaient à un tel point que je n’entendis pas sa camarade arriver juste derrière nous. Elle prit la relève de sa collègue en m’embrassant tandis que la première commença à descendre sur mon torse. Elle ôta mon uniforme et passa sa langue sur mon corps tout en continuant encore à me masser le sexe.

Les deux savaient se servir de leurs mains et leurs caresses étaient étonnamment douces pour des militaires. Je sentis alors des lèvres se poser sur mon pénis et je perçus l’humidité d’une langue sur le bout de mon gland. Les deux femmes léchaient tour à tour mon sexe et la première finit par le prendre carrément en bouche tandis que la seconde me léchait les boules. Je vacillais presque et ne pouvais m’appuyer sur aucun support et pourtant, je commençais à sentir le plaisir monter en moi tandis que l’une s’activait à me pomper et que l’autre caressait sa partenaire.

L’excitation est très vite montée et je finis par me vider dans sa bouche tandis que sa partenaire est vite venue en renfort pour en avoir quelques giclées. Elles conclurent en s’embrassant toutes les deux et en me regardant debout, le pantalon sur les talons et les boules à l’air. Elles me sourirent toutes les deux et même si je ne parlais pas leur langue, je compris à leur regard qu’elles avaient eu ce qu’elles cherchaient et qu’il y aurait vite une prochaine fois !

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